HISTOIRES GAY

 

Le Kiné

Mon pti mec à moi

Premier plan abattage

Première experience

Dans un parc

Auto fellation

Ma première sodomie

Vive le train

Rêve et Réalité

Caillera

Garde à vue

Les racailles

Mon premier coup

Le serveur

Idylle sous les tropiques

Aventures entre collegues

Chaud dans les dunes

une histoire mouillée

Vacances naturistes

Un plombier ça débouche

Soumis et offert

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le Kiné

 

Cela fait deux semaines que j'ai mal au dos, je n'en peux plus, je vais voir mon médecin. Il m'ausculte me pose des questions et me dit que mon problème vient d'une mauvaise position de travail. Il me donne des médicaments pour me soulager et dix séances de kinésithérapie. Je le quitte, passe à la pharmacie et en rentrant chez moi j'ouvre l'annuaire à la recherche d'un kiné. J'ai de la chance il y en a un à 300m de chez moi.

J'appelle : une, deux, trois sonneries et une voix dynamique et jeune me répond. Je lui explique mon problème, il me répond :

- Quand pouvez-vous être là ? sachant qu'il est 6h30 et qu'il ferme son cabinet à 7h00.

- Je peux être chez vous dans 5 minutes.

- Ok j'ai un patient venez tout de suite, je vous prendrai après lui vous serez mon dernier patient de la journée.

- D'accord, j'arrive.

 

Je prends mes affaires et je me mets en route, j'arrive, la salle d'attente est vide, j'entends des voix dans le cabinet à côté, je feuillette des revues, elles sont toutes des magazines de planche à voile plein de mecs bronzés avec des corps à faire bander une statue. Dix minutes passent, la porte du cabinet s'ouvre et je vois un jeune de 18-20 ans sortir avec des béquilles, le kiné lui tient la porte et le raccompagne en lui recommandant de faire les mouvements qu'il lui a montrés et de revenir dans 3 jours : "Salut et bon courage."

Il se retourne me fait un sourire et me dit:

- C'est vous qui venez d'appeler?

- Oui, merci de me recevoir si vite.

- C'est normal quand on peut aider quelqu'un qui souffre, il ne faut pas hésiter. Vous êtes mon dernier patient, je vais fermer la porte et couper la sonnerie de la porte d'entrée. On y va ?

 

Il ouvre la porte du cabinet et me fait entrer.

- Donnez-moi votre ordonnance s'il vous plaît. Merci, mettez-vous en slip et allongez-vous sur le ventre sur la table pendant que je remplis votre dossier.

 

Je commence à me déshabiller, je m'aperçois que je ne me suis pas changé avant de quitter la maison et que j'ai un caleçon shorty en lycra blanc moulant qui descend à mi-cuisse et monte haut sur la taille. Enfin ce n'est pas grave puisque je vais m'allonger sur le ventre. Je grimpe sur la table vite fait avant que le kiné ne me rejoigne, il ne verra pas mon service trois pièces moulé. Il s'approche de moi me demande si j'ai froid je Lui réponds que non, son cabinet est bien chauffé.

- Bon et bien on va commencer, dit-il.

 

Il prend une huile et commence à me masser la nuque puis les épaules, je me sens glisser dans une douce chaleur. Ses mains sont à la fois fermes et douces, il fait jouer les muscles entre ses doigts sans faire mal tout en appliquant une pression ferme. Je me laisse faire et je pense à ce mec qui est en train de me masser. Il fait à peu près 1m80, dans les 75kg, brun,bronzé, d'allure dynamique. Il porte une courte blouse blanche avec des manches courtes qui découvrent des avant-bras musclés. Il ne porte rien sous sa blouse et on voit des poils noirs qui s'échappent du col. Il porte un pantalon de toile blanche. Il me fait tellement de bien que je me surprends à gémir de bien-être.

 

- Excusez-moi lui dis-je mais vous me faites tellement de bien que j'en gémis.

- C'est très bien, détendez-vous, je vais vous dénouer, vous êtes tendu comme la corde d'un arc.

Sa voix est douce et amicale, il me pose des questions sur mon métier, etc...

- Vous habitez où me dit-il?

- J'habite à 300m d'ici.

- Ah c'est très bien vous n'aurez pas long à faire pour rentrer chez vous.

 

Ses mains descendent le long de ma colonne vertébrale et arrive à mes reins qui étaient douloureux, il commence à me faire bander ferme, heureusement que je suis sur le ventre. Ses mains me procurent un bien fou, je rêve, qu'au lieu d'être une séance de kiné ce soit un massage érotique, du coup mon imagination s'emballe et ma queue gonfle sous moi. Je m'imagine avec mon kiné, entraînés dans une séance plus érotique. Je ne peux m'empêcher de lever les fesses à chaque fois qu'il descend au bas de mes reins et que ses doigts viennent buter contre l'élastique du shorty.

Quand tout à coup, tonnerre, il me demande d'enlever mon shorty pour pouvoir me masser les reins plus facilement, mon shorty le gène. Je lui dis que je peux baisser l'élastique, il me répond, que ce n'est pas grave que je peux enlever mon shorty, on est entre hommes. Il s'écarte de la table de massage, je me relève rouge pivoine, je ne peux pas cacher mon érection et comble de tout j'ai une large tache d'humidité au bout de ma queue qui se voit sur mon shorty. Quel âne je fais, si j'avais mis un slip taille basse cela ne serait jamais arrivé. Ça m'apprendra, en plus il va voir que je suis complètement rasé, c'est bien ma veine.

Il a remarqué la tache sur mon shorty et que je bandais comme un âne. Je bredouille des excuses, il me dit que c'est fréquent que des mecs bandent quand on les masse, il a l'habitude. Il a l'habitude peut être, mais est-ce qu'il a l'habitude de voir des mecs bandés raides avec le bas du ventre la queue et les couilles rasées, là c'est moins évident. Enfin au point où on en est, je ne peux plus reculer, je prends mon courage à deux mains et baisse mon shorty, ma queue la traîtresse se dresse fièrement avec un peu de liquide transparent au bout du gland, mes couilles apparaissent rasées bien pendantes. Il me fait un sourire et me dit:

 

- Je vois. Vous êtes très tendu à ce qu'il me semble, ajoute-t-il avec cette fois un large sourire. Allez, allongez-vous sur le ventre, je termine avec vos reins et je vais vous faire un massage pour vous détendre.

 

Il se remet en place reprend son massage sur mes reins, je ne peux m'empêcher de lever les fesses à chaque fois qu'il descend vers mes fesses. À un moment il arrête ses massages, je me retourne, il me dit qu'il a chaud et qu'il va enlever sa blouse, ce qu'il fait dévoilant une poitrine musclée sans excès et bronzée, légèrement couverte de poils noirs.

 

- Bon reprenons notre massage.

 

Il prend une nouvelle huile, s'en enduit les mains et les posent directement sur mes fesses y appliquant une pression ferme, il les pétrit, à chaque passage ses pouces écartent mes fesses et se rejoigne près de mon trou. Je me laisse faire, il est expert l'animal. Maintenant ses doigts tournent autour de mon trou, se font insistant tantôt il écarte mes fesses pour faire glisser ses doigts sur ma rosette tantôt il les resserre. Un vrai supplice. Un doigt se fait plus insistant et commence à me pénétrer, quand je sens sa main glisser sous moi, et venir me caresser la queue et les couilles.

 

- Si on changeait de position, me dit-il. Tourne-toi et mets-toi sur le dos, me dit-il.

 

Tiens il me tutoie. Sa voix est ferme et sensuelle, prometteuse de nouveaux plaisirs. Je me retourne, et lui présente ma queue raide avec un petit filet qui pend au bout du gland. Il rit et me dit:

 

- J'ai l'impression que mes massages te font de l'effet non? Bouge pas je reviens.

 

Il passe dans une petite pièce à côté et revient avec des gouttières comme celles qu'utilisent les gynécos pour leurs examens.

 

- Tiens mets tes jambes dedans.

 

Me voilà allongé sur le dos les jambes dans les gouttières le cul et les couilles offerts, il s'installe entre mes jambes et commence à me doigter lentement mais fermement, son doigt entre dans mon trou, tourne et vient me masser la prostate. De son autre main il commence à me branler doucement. Il se penche sur moi et me roule une pelle magistrale sa langue agile tourne autour de la mienne me pénètre, m'investit. Il continue de me branler doucement attentif à ne pas m'emmener trop loin. Il vient de glisser un deuxième doigt, il les fait entrer et sortir comme s'il me baisait.

Sa main a quitté ma queue pour me masser les couilles qu'il tire d'avant en arrière. Il se recule pour voir si son travail de cul avance bien, je vois une bosse imposante dans son pantalon de toile. Il a l'air satisfait. Il replonge ses doigts dans mon cul, il en profite pour y mettre un troisième, il les fait tourner pour élargir l'entrée pendant qu'il me raconte des histoires bandantes. Tout sourire, il me dit:

 

- Tu es fin prêt, il va falloir que tu m'aides un peu.

 

Il contourne la table vient se placer à côté de moi et replonge ses doigts dans mon trou. Sa braguette est à quelques centimètres de ma bouche, je pose mes doigts sur le bouton de la ceinture pour le faire sauter et je sens une bête prête à bondir derrière, je lui masse l'entrejambe. Je sens une barre bien dure et dessous une belle paire de couilles lourdes. Sa respiration s'est accélérée. Je fais descendre le zip, il ne porte pas de slip et la bête jaillit sous mon nez. Elle doit faire dans les 19cm et le gland est recouvert par le prépuce. Il n'a pas de poils lui aussi est rasé, sa queue n'en paraît que plus longue et ses couilles plus importantes.

Il me fait un sourire et me demande de le lubrifier. Je prends sa queue, tire doucement sur la peau et dégage son gland, un petit coup de langue pour lécher le liquide transparent au bout, et je fais glisser son gland entre mes lèvres serrées comme s'il s'agissait d'un petit cul vierge. Il me dit:

 

- C'est bon continue.

 

Sa queue glisse dans ma bouche, ma langue tourne autour de son gland lui arrachant des soupirs. Ma main glisse sous ses couilles pour les masser et s'aventurer jusqu'à sa rondelle, il ne proteste pas, au contraire il bouge son bassin pour accompagner mes mouvements. Il pousse des gémissements, des "hum c'est bon".

 

- T'es prêt? me dit-il.

 

Je me suis redressé sur les coudes et je peux voir son gland posté à l'entrée. Il me fait un sourire et enfonce lentement son gland que je sens entrer en moi. Sa chaleur se communique. Il fait une petite pose le temps que je me fasse à son engin, puis d'une seule et longue poussée il me pénètre à fond. Quand ses couilles viennent toucher, mes fesses il s'arrête. Avec un sourire, il me laisse le temps de prendre la dimension de son engin, il a vu la petite grimace que j'ai faite quand il est entré. Il me dit "Détends toi" et joignant le geste à parole il entreprend de me masser les seins et les épaules. Je me laisse faire, la douleur a disparu et je ne sens plus que sa queue qui ne demande qu'à s'activer dans mon antre.

Il se penche vers moi pour me donner un baiser langoureux et profond et commence ses va-et-vient. Doucement, il entre et sort au passage son gland vient frotter contre ma prostate déclenchant des ondes de plaisir. Une douce chaleur envahit mon bas-ventre, pour le caresser je serre les muscles de mon sphincter comme si je voulais le branler avec mon cul.

 

- Oui continues à me serrer c'est bon, vas y.

 

Il accélère son rythme, sa respiration est plus courte. Moi-même je sens mes couilles remonter, la jouissance approche. Il le sent et me dit qu'il va venir, il va de plus en plus vite. Je sens les premières contractions dans mon cul, je vais jouir sans me toucher. Mes contractions se communiquent à sa queue qui elle aussi semble gonfler un peu plus. Mes spasmes passent à sa queue, mes couilles me font mal, je sens le jus monter puis une impression de vertige je me vide sur mon ventre. Au même moment, je sens sa queue se contracter dans mon cul, il pousse un cri rauque et m'envoie cinq longs jets dans les entrailles. Il se laisse tomber sur moi haletant et me donne un baiser fiévreux.

 

- Merci me glisse-t-il à l'oreille . Veux-tu me rendre la pareille quand tu auras repris la forme?

- Je ne demande, pas mieux lui dis-je, mais cette séanc m'a donné faim, veux-tu venir chez moi?

- Avec plaisir me dit-il. Veux-tu m'aider à ranger pour que je puisse recevoir demain mon premier patient?

- Avec plaisir.

 

Nous rangeons la salle, il se change pendant que je me rhabille. Nous quittons le cabinet et cinq minutes après nous sommes chez moi. On prend un verre le temps de réchauffer un plat en repassant en vue les derniers moments que nous avons passés ensemble. Le dîner se passe le mieux du monde interrompu par des caresses et des baisers. On passe au salon pour un verre de cognac assis l'un à côté de l'autre. Il me dit:

 

- J'ai envie de toi, maintenant.

- Viens lui dis-je en l'entraînant vers la chambre.

 

Là, il entreprend de se déshabiller. Je lui dis "Laisse- toi faire", ce qu'il fait radieux. Maintenant, il est nu devant moi je me mets à genoux et prend sa queue dans ma bouche, de ma main gauche j'explore ses fesses et je trouve son petit trou, il gémit. Il me relève me donne un baiser en me déshabillant à mon tour. Mon doigt n'a pas lâché son trou, qui devient humide. Maintenant, nous sommes nus l'un contre l'autre, queue contre queue.

 

- Viens lui dis-je, on va se préparer mutuellement.

 

On s'allonge sur le lit en position de 69. Je lui donne ma queue à sucer et lui m'offre son trou à préparer. Ma langue s'agite autour du trou et commence à y pénétrer. Pendant ce temps lui s'active sur ma queue qui devient de plus en plus raide. Son trou s'ouvre progressivement, j'y glisse alternativement mon doigt et ma langue lui arrachant des soupirs. Maintenant son trou est ouvert, ce sont trois doigts qui entrent et sortent. Il s'active de plus en plus sur ma queue je lui demande de se calmer sinon il va ma faire jouir.

 

- Oh non me dit-il, je veux ta queue dans mon cul.

- Je suis prêt, on y va?

- Oui, me dit-il. Allonge toi sur le dos je vais m'enculer tout seul.

 

Je m'allonge sur le dos, il vient s'asseoir à califourchon sur moi, il prend ma queue couverte de salive et la présente sur son trou. Mon gland est à l'entrée des deux mains il s'écarte les fesses puis se laisse descendre le long de ma queue. Je sens mon gland rentrer dans cet antre chaud et humide qui me serre. Mon gland vient de passer le barrage de son sphincter c'est maintenant le reste de ma queue qui force le passage. Il descend toujours lentement pour bien prendre la mesure de mes 18,5cm. C'est bon. Ses couilles viennent de toucher mon pubis, je suis à fond en lui. Il me sourit, il a une petite larme au coin de l'oeil, il a du souffrir un peu au passage de ma queue. Il souffle fort pour s'oxygéner, je sens son conduit se détendre, je suis bien. Je commence un petit mouvement de va-et-vient. Il me dit:

 

- Arrête, c'est moi qui vais faire le travail, et il commence ses mouvements de bas en haut le long de ma queue, ponctué de que c'est bon.

 

Il se déchaîne, on a l'impression qu'il est monté sur un cheval de rodéo, tant il s'agite. Je lui dis de se calmer, mais rien y fait, il se défonce sur ma queue. Je lui dis que je vais venir, il me dit que lui aussi. Je sens les premiers spasmes dans son cul qui provoquent chez moi la montée de la jouissance. Comme une décharge électrique ma queue explose dans son cul si chaud et humide provoquant sa jouissance, son cul se contracte plusieurs fois avant qu'il ne me balance 6 longs jets de foutre sur le corps, il y en a même un qui me tombe sur les lèvres que je m'empresse de lécher.

Il s'écroule sur moi. Je lui donne à goûter le sperme qu'il m'a envoyé sur les lèvres. Il me rend un baiser furieux. Nous nous écroulons épuisés et heureux. Je lui propose de passer la nuit avec moi, il accepte avec enthousiasme.

Ce matin je me suis réveillé de bien agréable façon. Il s'était glissé sous la couette et ma sucé doucement, c'est le contact de sa langue sur mon gland qui m'a réveillé. Je l'ai laissé faire. Je me suis vidé dans sa bouche, il m'a bien nettoyé, puis il est venu partager mon sperme dans un baiser des plus tendres.

 

- Je suis bien me dit-il, veux-tu que nous soyons amants?

- Ce sera avec joie, que je lui réponds.

- Voilà une journée qui commence bien, me dit-il en se levant et dans un éclat de rire il me donne une tape sur la fesse en me disant: Allez debout on a une journée de travail devant nous. Comment va ton dos? me dit-il dans un grand éclat de rire.

- J'ai plus mal lui dis-je, ce doit être ta crème et ton sirop qui m'ont guéri.

 

Nous éclatons de rire tout les deux.

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Mon ptit mec à moi

 

J'ai découvert mon réel penchant pour les hommes à l'âge de 17 ans. J'étais en classe de première. Nous devions réaliser un dossier à deux sur la résistance de la 2e guerre mondiale. Je m'accompagne naturellement d'Arnaud : nous sommes tous les deux liés d'une grande amitié.

Mais depuis quelque temps, je sens que ce n'est pas que l'amitié qui me rapproche de lui. Le problème est qu'il aime les femmes !

Je l'invite donc un mercredi après midi pour peaufiner notre dossier. La journée est à nous : nous sommes seuls. Malheureusement, il ne veut que travailler, moi je pense à autre chose. Il faut donc que j'attire son attention. Je me mets dans diverses positions pour attirer ses regards, mais il reste le nez dans ses cahiers. J'invente le prétexte de la chaleur pour exhiber mon torse (bien que la chaleur ne soit pas assez forte pour se dévêtir). Mais rien n'y fait. Je lui propose de retirer sa chemise pour laisser entrevoir son torse (que je ne peux m'empêcher de mater dans les vestiaires du lycée… Il faut dire qu'il est attirant : 17 ans, 1m75, brun, merveilleux yeux bleus…). Mais il refuse. Il me demande donc de me reconcentrer.

Je me reconcentre, certes, mais pas sur le dossier, mais plutôt sur son entrejambe dans son jean moulant. Je l'imagine nu en face de moi. Mon plus grand fantasme est de sentir un sexe d'homme s'immiscer et glisser dans ma bouche en feu… Je commence à bander mais il ne fait pas cas de moi. Je prends mon courage à deux mains. Je m'approche de plus en plus de lui, puis je pose ma main sur sa cuisse. Il se retourne, on est nez à nez, les yeux dans les yeux. Il ne dit rien. Son souffle s'accélère. Je sens alors un grand moment de solitude. Je bredouille des excuses, sans enlever ma main :

 

- "Excuse-moi, je…"

- "Pourquoi t'excuser ?"

 

Cette réponse de sa part m'a vraiment étonné. Je me penche sur lui et lui roule une pelle magistrale. Il se laisse faire, étonnant pour un hétéro ! Sa langue tourne autour de la mienne. Je bande fortement. Je remonte alors ma main sur sa cuisse jusqu'à sa bosse, qui gonfle sous ma main. Il me dit :

 

- "Tu sais, j'ai toujours eu un doute sur ta sexualité. Tu l'as toujours nié, mais moi je m'en doutais…"

- "Peu importe…"

 

Et je le pousse sur mon lit. Il est allongé sur le dos, je me couche sur lui. Je l'embrasse tendrement, je lui mords les lèvres. Nos langues communient. Je descends sur son torse, lui suce les seins. Je glisse ma langue le long de son torse jusqu'à son pantalon. Je le déboutonne lentement, le fais glisser le long de ses jambes laissant apparaître un service trois pièces moulé dans un slip blanc. Mon cœur bat très fort. C'est ma première expérience.

Je fais alors glisser son slip qui me fait découvrir son sexe généreux, sur lequel j'ai souvent fantasmé. Je l'engouffre dans ma bouche et commence un va-et-vient le long de sa bite turgescente. Je salive autour de sa queue et fais tourner ma langue autour de son gland délicieux. Je l'entends gémir de plaisir, des petits aaaah, des hum, qui m'excitent par dessus tout. J'accélère le mouvement, n'hésitant pas à embrasser ce sexe qui m'appartient et à le frotter contre mon visage pour sentir son odeur excitante. Il ne me prévient pas qu'il va jouir et je sens bientôt son sperme se déverser dans ma bouche. Je l'avale immédiatement. Il trouve ça écœurant.

 

- "Maintenant, c'est à toi !"

 

Je me lève, m'allonge sur le dos à sa place et écarte mes jambes. Il me déboutonne mon jean et le fait glisser le long de mes cuisses. Il fait glisser mon slip très tendu. Mon sexe se retrouve dressé à quelques centimètres de ce bel hétéro. Il est hésitant dans ses mouvements. Il prend mon sexe dans sa main, son souffle s'accélère et il commence à me branler lentement. Puis il approche sa bouche, colle sa langue sur mon gland mais la retire aussitôt.

 

- "N'aie pas peur, lui dis-je. Tu vas voir, c'est bon !"

 

Il approche à nouveau sa bouche de mon gland et l'engloutit. On sentait sa peur dans ses mouvements. Il s'arrête de bouger, puis en fermant les yeux il engloutit mon sexe qui n'attendait que ça. Finalement, il y prend goût et accélère le mouvement. Il joue merveilleusement de sa langue en me regardant avec ses yeux doux et brillants. Je ne peux pas croire ce qu'il m'arrive : je suis en train de me faire sucer par le mec qui constitue tous mes fantasmes et à qui je pense quand je me branle ! Je le préviens que je vais jouir, il retire alors sa bouche mais continue de me branler avec ses mains expertes. Finalement, j'éjacule. Les premières giclées se répandent sur son visage, dont une au coin de sa bouche qu'il essuie directement. Je m'approche alors de lui et lui lèche le visage pour récupérer cette semence qu'il ne faut pas gâcher. Puis je lui roule une pelle. Nos langues se mêlent à mon sperme. Dès qu'il s'en rend compte, il se retire et crache par terre. "J'aurai du mal à le convertir…" Puis nous nous enlaçons sur le lit. J'aime sentir sa barbe rasée du matin se frotter contre ma peau. C'est si viril ! Tout en lui caressant le torse, je lui glisse à l'oreille en chuchotant :

 

- "Défonce-moi…mon p'tit mec à moi, prépare mon p'tit cul"

 

Je me mets alors à quatre pattes et il commence à m'insérer délicatement son index dans mon cul qui n'attendait que ça. Hum que c'est bon !

Je sors alors des préservatifs du tiroir de mon chevet ainsi que du gel. (J'avais prévu le coup…) Il fait coulisser son doigt. Je lui dis d'en rajouter un et de bien m'écarter le trou. Chose qu'il exécute, et qui me fait très mal. Je me retourne vers lui, prends une capote et commence à la dérouler lentement le long de son sexe turgescent (un autre de mes fantasmes). Ca m'excite plus que tout ! Il prend alors le gel, l'applique délicatement dans mon anus et sur son sexe enfermé dans le caoutchouc. Puis il présente sa queue à l'entrée de mon trou. Je lui dis d'aller doucement, chose qu'il respectera. Il commence donc son entrée lentement. Je souffre beaucoup, la douleur me traverse, mais il est bientôt à fond en moi. Il s'arrête alors, le temps que je reprenne mes esprits. Puis il commence ses va-et-vient. Quel plaisir je ressens alors ! Inexprimable ! Je gémis et lance des "vas-y, défonce moi…". Il accélère le rythme. Il me ramone totalement mon anus dilaté ! Le salaud !

Je jouis alors sur mon lit tandis que quelques secondes après, je l'entends pousser des cris bestiaux. Il jouit aussi. Je me sens alors un véritable homme. Je suis au septième ciel. Nous nous allongeons sur mon lit, fatigués. Je respire son odeur de mâle en chaleur qui m'excite. C'est mon p'tit mec à moi !

Au bout de quelques minutes, je lui demande si il veut que je l'encule. Il accepte en hésitant. Je pointe alors mon index vers son anus pour le dilater. Mais à peine ai-je enfoncé le doigt, il me dit que ça lui fait mal, qu'il souffre trop et qu'il veut qu'on s'arrête là. Il n'est vraiment pas prêt pour ce genre d'expérience. Dommage !

Nous nous enlaçons sur le lit. Je le regarde dans les yeux. Il est si beau ! Je lui avoue alors qu'il m'est déjà arrivé de me branler en pensant à lui. Il n'en croit pas ses oreilles ! Je lui propose de prendre une douche. Ensemble, bien évidemment. On retire alors ce qu'il nous reste : c'est-à-dire pas grand chose. Puis on se place dans la baignoire. Je prends mon gel douche et commence à lui frotter le torse, en insistant bien sur ses pectoraux et ses tablettes de chocolat naissantes. Encore un de mes fantasmes. Enfin, c'est plutôt me faire frotter par un homme sous la douche. Il prend aussi le gel et me masse le corps de ses mains expertes. Hum que c'est bon. Les réactions ne se font pas attendre et mon sexe pointe vers le haut.

 

- "T'es un petit pervers", qu'il me dit.

 

Puis ventre contre ventre, on se frotte notre torse et notre sexe l'un contre l'autre. Puis je me baisse au niveau de sa queue, la frotte pour enlever le gel et commence à ouvrir ma bouche.

 

- "Oh non, t'en as pas marre ?", me dit-il.

 

- "Non."

 

- "Beh moi si, alors on remettra ça à une prochaine fois…"

 

Dommage pour la pipe, mais je suis heureux qu'il veuille remettre ça. On se sèche, se rhabille. On finit tranquillement notre dossier. Un baiser langoureux et il rentre chez lui.

Le soir, je ne peux pas croire ce qu'il m'est arrivé dans la journée. Presque tous mes fantasmes se sont réalisés avec celui qui me fait fantasmer !!! J'espère que cette expérience ne va pas briser notre amitié. Le lendemain, nous n'affichons pas notre homosexualité au lycée (peur des moqueries et du regard des autres) mais nous nous échangeons parfois des baisers langoureux à l'abri des regards indiscrets…

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Premier plan abattage

 

Comme je l'avais convenu avec lui par mail, matthieu est arrivé a 21h juste au 3eme étage du parking du supermarché. A cette heure là il n'y a jamais personne. Le plan était bien organisé et matthieu avait insisté si je changeais d'un pouce, il se cassait. Je l'attendais donc face au mur au garde a vous. Je ne devais pas voir qui il était. Il n'y avait pas de bruit et j'entendais qu'il manoeuvrait avec sa voiture. Il a mis du temps à descendre et après avoir claqué sa porte, j'ai entendu ses pas sur le parking. je commençais grave à fipper mais ca faisait partie du plan. Il était derrière moi a 1 mètre a peine. Je l'entendais respirer. Il m'enfila une cagoule sur la tête avec un seul trou pour la bouche et je devinais déjà pourquoi. il me colla  les mains dans le dos pour me les menotter. il avait l'habitude et le tout ne dura que 30 secondes. Soudain j'ai senti qu'il n'était pas seul. j'ai été empoigné par deux personnes et traîné vers la voiture. Putain je flippais grave. J'ai voulu protester mais je n'ai eu comme réponse qu'un "t'as gueule" tellement autoritaire que je compris de suite que le plan avait commençé et que je risquais de le stopper si je parlais. J'étais certainement pas dans une voiture comme je pensais au début mais dans une camionette car j'étais allongé sans difficulté. Je ne sais pas où on allait mais la route durait et la peur et l'excitation mélangée me donnait chaud. Quel con je compris pourquoi j'avais chaud quand un mec me recollait la tête sur un chiffon imbibé de poppers. Après un bon quart d'heure de route j'ai été déchargé, y'a pas d'autres mots. On était dehors, il n'y avait pas de bruit et l'odeur était caractéristique de la forêt. Les mecs étaient au moins trois. J'ai été traîné par deux paires de  bras costauds et collé contre un mur. Un d'eux m'a ôté mes menottes et je me suis retrouvé les mains attachées en croix a des anneaux en fer. Aussitôt j'ai reçu un seau d'eau sur mes fringues. Le coup d'envoi venait d'être donné. Les mecs se sont foutus de ma gueule et ont commençé à m'insulter, m'ôter mes fringues et se foutrent de ma gueule. Une fois a poil j'ai reconnu le bruit d'une bombe à raser et j'ai senti ma queue gonflée dans la main d'un mec qui se mit à me raser les couilles. Je n'avais toujours pas dit un mot comme convenu mais lorsqu'il attaqua le reste de mon pubis et que je voulu protester j'entendis une voix différente de la première me hurler dessus que "les salopes de mon genre ferme leur bouche qui ne doit s'ouvrir que pour sucer des queues". Aussi sec, le mec qui me rasait remarqua mon excitation et a prévenu ses potes que "la putain de lope était au point". Après un deuxième seau d'eau je me suis retrouvé détaché par terre sur le sol boueux. Les mecs avaient sorti  leurs queues et se présentaient à tour de rôle pour que je les suce. j'étais excité comme pas permis je suçais sans me poser de questions goulument et aux appréciations des mecs je savais que je tenais bien mon rôle. Un moment je me suis demandé s'ils étaient 3 ou plus car j'avais l'impression qu'il y avait des queues partout et j'entendais un maximum de canettes de bière se déboucher. Je sentais des mecs derrière moi taper leurs queues sur ma tronche. Je ne sais pas combien de temps cela a duré mais  j'avais mal aux mâchoires tellement je pompais. D'un seul coup j'ai été empoigné lorsque Matthieu a crié "go". Cette fois c'est sûr ils sont plus de 3 car je suis levé et tenu par les quatres membres, putain je flippe, qu'est ce que c'est que ça, ou suis je ? J'ai l'impression d'avoir été emmené dans un filet ou un truc comme ça je sens les mailles sous mon dos. putain je vais avoir le mal de mer a force. En fait je suis sur le dos dans un hammac les jambes tenues fermement par deux mecs pendant qu'un troisième me les attache au hammac. Je sens que je vais y passer. Putain on est loin de ce qui était prévu, je flippe mais j'ai une putain de gaule ! Un mec passe derrière moi et me colle sous le pif un morceau de tissu plein de poppers et je redécolle. Quitte a se faire défoncer autant y mettre du coeur alors je ne sais pas pourquoi je me mets a gueuler " allez y bande de nazes, baisez moi !"... mais alors que j'attendais un 3ème "ta gueule" , rien, le silence complet ! Putain là je flippe vraiment mais je ne peux m'empêcher de bander encore plus. j'ai le fion ouvert à l'air dans un hammac dans une forêt sans doute je ne sais où ! Le silence a duré, duré encore si bien que j'ai cru que ces cons étaient partis me laissant là. Je sentais une  présence derrière moi, mais personne ne répondait à mes gueulantes. Je peux vous dire dans ce cas là on trouve le temps long ! Ouf ils étaient encore là j'en étais sûr car j'entendais le long de mon oreille gauche le bruit des cendres d'une cigarette sur laquelle on tire. Putain c'est pas vrai je suis avec des tarés ce sont les dernières bites que j'ai sucées, ces cons vont me faire rôtir ou quoi ! Un coup de sifflet et les hostilités sont reparties, les mecs se foutent de ma tronche et m'insultent. Ca sent la bière, ces cons sont en train de se torcher la tronche et m'insultent a tout va ! Je suis rassuré et je retrique de plus belle en remuant dans mon hammac pour essayer de me défaire. Je prends une putain de claque sur le fion à vous exploser un novice, puis juste derrière la brûlure je sens une méga dose de gel frais couler sur ma rosette. Allez faut se motiver parce que eux le sont bien ! Ca sera la nuit de baise la plus longue de ma vie !!! je me suis fait enfiler comme une salope. A  l'abattage, Matthieu m'avait raconté ce type de plan et l'avait mis à exécution dès la première rencontre. j'entendais les protections de préservatifs se déchirer et aussitôt après je me retrouvais avec ma première queue bien au fond. J'étais tombé sur des cho, sur des virils et dans le lot sur des TTBM car mon cul avait beau être bien ouvert certaines nouvelles queues avaient du mal a entrer dans mon fion. Je me suis fait limer a fond à toutes les vitesses possibles et chaque mec qui était passé venait se vider les couilles sur moi. je sentais le sperme couler sur moi et j'en bandais encore plus en imaginant la scène. Le plan a duré et je ne pensais pas que je puisse être aussi endurant. Une dernière queue est entrée en moi et une main s'est posée sur ma tige tellement bouillante qu'il a fallu moins de 5 mn pour qu'elle crache tout ce qu'elle avait sur le  coeur. Jusqu'au bout j'aurais eu les yeux bandés. Matthieu m'a laissé sur le parking. Quand je suis monté dans ma voiture il était 5h53. Putain qu'elle nuit ! En rentrant j'ai trouvé un mail de Matthieu avec les premières photos prises pendant le plan.  Je me suis mis aussi sec a bander et me suis branlé a nouveau avant de me pieuter. Matthieu m'a confirmé que j'avais été un chef pour ses 5 potes et lui ! Mon premier plan abattage mais pas le dernier m'a t'il promis !

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Premiere Experience, le maitre nageur

 

Voila 3 ans de cela, j'ai pris des cours de natation , au commencement j'aimais pas du fait que j'étais le seul a ne pas savoir nager et surtout que c'était tout les samedis de 19 à 23 heures.Mais je m'y rendait juste a cause du maître nageur : il s'appelait Ruben et tout en lui évoquait mes fantasmes. Il était grand , bâti en nageur, tout là ou il le fallait, brun et les yeux noisette. Il souriait tout le temps, mais il avait douze ans plus que moi. Bon à 18 ans je trouvais pas ça important , et je continuais a penser a lui la nuit en caressant mon corps et ça ce terminait toujours par une éjaculations. Mais un soir tout mes fantasmes allaient devenir une réalité.

 

Ce soir la, le cours tirait a sa fin et je me noyais dans la contemplation du corps de Ruben, de ses muscles jouant sous sa peau, de ses yeux brillant, et surtout je m'abîmais de contempler son maillot qui ne cachait presque rien de son gros membre même pas en érection. Alors que le cours finissait, Ruben me demanda de rester pour l'aider a ranger le matériel qu'on s'est servi ce soir la. D'habitude il demandait aux autres de le faire, mais comme les autres étaient déjà parti il me la demandé, donc j'ai trouvé ça normal. Nous avons donc ranger le matériel et discuter un peu ensuite. Je ne me lassais pas de l'écouter parler des choses les plus anodines , et il a commencé a parler de sexe . j'ai eu une érection impossible a cacher, et il s'en est aperçu , et j'ai vu son sexe gonfler sous son maillot. J'étais a deux doigt de lui avouer mon orientation sexuelle, mais il a changer de sujet.

 

Je pris donc le chemin des douches pendant que Ruben terminait son entraînement personnel. Sous la douche chaude je détendis mes muscles alors que mon sex était encore bandé, je ressentais des frissons de délice, l'eau chaude coulait sous mon maillot, dans lequel j'ai glissais mes mains. Je commençais a me caresser en pensant a Ruben qui était la en maillot lui aussi, son membre et ses fesse moulées dans son speedo blanc. C'est a ce moment que je sentis des mains me saisir par la taille et remonter vers mes pectoraux pour les caresser langoureusement. Une bouche s'insinua dans mon cou pour m'embrasser tendrement. je me retournai pour me retrouver dans les bras de Ruben, il était très bander,et son pénis sortait a moitié de son speedo. Il se colla a moi , son érection collée sur mon ventre, sa bouche sur la mienne et sa langue dans ma bouche. Ma queue bander très serrer dans mon slip de bain me faisait mal et demandait a en être sortit de la. Il eut tôt de remédier a ce problème en me le retirant. Puis il s'agenouilla embrassa ma verge bien raide pleine de sève qui pointait vers le ciel, il me décalotta et je sentais la sensation des ondes de chaleur intense sur mon gland quand il l'apporta a ses lèvres, et engloutit ma queue complètement. Il se releva et m'embrassa a pleine bouche, nos langues se sont mélangées, entremêlée passionnément.

 

Il me serra contre lui doucement, sans me faire peur , me communiquant sa chaleur. tout doucement il retira mon maillot complètement et en fit de même pour lui aussi. Puis il pris le savon et s'enduisit les mains. Il se mit a me caresser partout tandis que ma bite allait exploser tant que j'étais bandé. Il m'enduisit le corps de savon glissant. Ses mains s'attardèrent sur mes abdo pour longer mes hanches jusqu'a mes fesses. Je sentais ses mains fermes me pétrir les muscle et je penser a rien d'autre qu' a lui et a moi, unis pour la vie.

 

Apres m'avoir rince , il s'agenouilla devant moi et sa bouche se posa sur mon carmin de désir. il commença a me sucer, des ondes électriques de plaisir intense partait de la base de ma queue pour se propager partout. Sa langues s'attardait sur la fente de mon gland, ses main caressaient mes couilles qui pendaient bien bas. Nous sortîmes des jets d'eaux de la douche et il me fit allonger , il pris mes couilles dans sa bouche et les suça langoureusement. Une douce volupté m'envahissait tout entier, le plaisir montait dans ma verge jusqu'a des sommet que je n'avais jamais penser.

 

Sa mains glissèrent dans la fente de mes fesse. Au début je trouvais sa inconfortable, mais a un moment il toucha un point qui emplit mes reins de chaleurs , il m'écarta les fesses et me lécha l'anus. Je sentais sa langue qui entrer dedans alors que sa main caresser ma queue. Tout doucement il inséra un doigt et il me fit jouir . Ensuite il retourna vers ma queue il recommença à la sucer, j'allais exploser dans sa bouche mais il s'arrêta et il vint m'embrasser. Il prit ma queue a nouveau et il l'enfonça dans son cul. il faisait tout les mouvement lui même, j'étais la a regarder sa bite énorme, je la saisit et commença a le branler, soudain je sentais des frisson dans mes entrailles, j'allais jouir il se retira, commença a me sucer encore et je lâchais un énorme paquet de sperme bien épais dans sa bouche, qu'il avala avec délectation

 

Apres mettre remis du choc dans le bras de mon amant, je tendis les mains vers sa bite, doter de dimension bien supérieure aux miennes, disons 22cm. je posai mes lèvres sur le satin du gland de Ruben et il gémit au contact , je m'empressai de l'avaler même si je pouvais seulement le prendre a moitié, je léchai sa queue en suivant les veines qui s'y trouvait, je commençai a bander encore, j'avais tellement envie de sa queue que je me mis a quatre patte et le suppliai de me le mettre , au départ j'ai eu mal. mais très vite j'aimais le rythme et il le faisait de plus en plus vite , il m'exploser le cul , mais que c'était bon. il accélérait la cadence pour enfin pousser un cri de plaisir intense, et lâchait son sperme très chaude a l'intérieure de moi

 

Nous primes une douche très vite, j'informait mes parent que j'allias coucher chez un ami. nous repartîmes chez lui, et très vite nous étions au lit, j'avais encore envi, nous le refîmes jusqu'a épuisement et il laissa sa bite en moi et nous nous sommes coucher l'un coller a l'autre avec sa bite en moi.

 

Au réveil nous le refîmes encore et tout les soir nous le faisions encore.

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Dans un parc

un soir, je me rends dans un parc parisien où il y a beaucoup de mecs qui cherche des males, pour une aventure.

j'en fesais autant que eux mais j'avais pas trouvé de mecs qui me plait, je pars de la zone de drague et beaucoup plus loin je vois un motard. Dans ma tete je me disais il est fou c'est interdit !

Plus il se rapproche plus je vois qu'il est jeune et surtout pas mal(e). il s'arrète et me demande une cigarette, je lui donne et me dit par la suite tu cherche quoi. je suis devenu fou je le détaille, brun, 30ans, légerement poilu, tres musclé, habilllé survet, basket, je lui reponds pas je n'arrivais pas, il met sa main sur son entre cuisse et dis "tu cherche de la bite toi, tu viens je connais un coin" je ne parlais pas j'étais très en chaleur par ses mots il dessend de  sa moto et me conduit dans ce coin, je mate ses fesses son dos tres large.

Arrivé au coin il appuit sur mes épaules et me dis fais ton boulot. il baisse son survet qui marque son erection et je vois un slip de bain je le devore car ça mexite et en plus il a une grosse pine et un gros gland il gémit et me dis tourne toi. Il me touche, me doigte et dis "tu aime ça tu cherche ça" ! Il m' alloge sur sa moto et ma prend. J'avais mal de plaisir et dominer, j'étais son vide couille et ce jour là j'aimais ça.

A la fin il me donne son slip de bain et "me dis tu te branlera dessus les jours ou tu pensera à moi.

Je lui demande comment il s'appel ; il me repond pas il avais un accent Hongrois et surtout il me dit merci et salut. J'ai toujours son slip depuis 4 ans et je me branle par moment en pensant à ce mec.

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Auto-fellation

 

Année 1990,

 

Jeudi 20 septembre,

Je viens tout juste d'avoir 17ans, ouah, je ne fantasme que sur une chose, la queue ! Je commence ce journal intime au pensionnat. Cela me permettra peut-être de mieux supporter la vie en communautés. Je ne suis pas complètement foutu. Je suis tout de même à Cannes.

Pour décrire le pensionnat où je suis, c'est en un seul mot catholique. Le pure lieu de toutes les excitations des hommes.

 

Lundi 24 septembre

Un nouveau arrive dans la classe. Pour te résumer le personnage, il mesure 1m80, 72kg, un corps musclé, châtain, beau, charmant et fier. Tout ce que j'aime. En plus, il est gymnaste. Gros plus, ça forme le corps ; je me demande s'il n'est pas un de ces athlètes russes élevés à la rigueur et qui a façonné son corps à la sueur de son front. J'imagine au pieu, ce que cela donne. Putain se faire bourrer par un athlète ! Imagine à quelle allure va le sportif dans sa course vers le cheval d'arçon ? Le mec, il s'élance et t'empapaoute direct. Bon je vais me branler.

 

Mardi 25 septembre

Goran, c'est son nom, il est venu me parler, je savais plus où me mettre. Le costume de l'école ne permet pas de cacher l'érection. Je sais pas s'il s'en ai aperçu. Je m'en fous. Vaut mieux qu'il le sache. Il parle pas français et est justement ici pour l'apprendre. C'est pas un athlète russe. C'est un fils de diplomate russe sportif, nuance!

 

Mercredi 26 septembre

Il est 1h du matin et comme à l'habitude je n'ai pas sommeil. En plus personne dans ma chambrée ne dort nu. Rien à mater. Ils ronflent tous. C'est pas vraiment un endroit excitant. Je me lève, descends deux étages, je vais me griller un petite cigarette, bien que je ne fasse pas l'apologie du tabac. J'adore ces moments là. Il fait doux et mes gonades sont en pleine activité. Si si ! c'est mon cours d'aujourd'hui en biologie. Les testicules sont des gonades. Je termine ma tige et remonte les escaliers marche par marche, pas la peine de s'énerver avant d'aller rejoindre mes ronfleurs attitrés. Je suis à mi parcours de mon lit, je tourne la tête. Qui vois-je ? Goran ! Il a une chambre à lui l'enculé et il ferme pas la porte. Je me suis assis sur les marches hors de son champ de vision et je me suis rallumé une cigarette.

Si un surveillant me chope je m'en fous. Ce soir là en plus, c'est Gabriel, l'étudiant-surveillant, un apprenti curé de première catégorie. Une beauté lui aussi, un homme d'Eglise de 22ans, c'est dingue. C'est le plus cool et je ne serais pas étonné de le savoir bi à 100%. Goran est sur son lit, il s'échauffe apparemment. Il fait des pompes. J'ai jamais vu un mec faire des pompes sur un lit. Il est en pyjama blanc. Il bande le salop. Je rêve, c'est pas possible. Non, je bande aussi, c'est bien réel. Il fait des sortes d'assouplissements maintenant dos au lit. Il ramène ses jambes vers la tête. J'ai mal un instant à sa place. Il s'arrête. Je prie pour que ce ne soit pas fini. 5mn passe et toujours rien. Ma clope s'est consumée toute seule. Je suis en extase totale. Le salop, il sort sa queue. C'est une longue bite.

En pyjama, la queue raide à l'air, il recommence ses assouplissements. Non il va pas le faire, et si, il se suce. Il s'auto-suce. J'avais jamais vu ça, ni jamais pensé d'ailleurs. C'est trop cool. Je vais pas me branler quand même sur les marches. Et pourtant je me branle, merde, comme ça Gabriel saura que j'adore me branler sur les marches. Je lui dirais que c'est mon trip les marches d'escaliers. Il s'auto suce depuis 5mn où il rentre sa queue dans sa bouche naturellement et avec aise. Il fait le tour du gland avec sa langue, il reprend sa queue à pleine bouche. Il va bien jusqu'à la moitié de sa queue. Il accélère le mouvement et je l'entends gémir de l'intérieur, le sperme dégouline de sa bouche.  C'est trop bon, tu peux en toute sécurité te gicler dans la bouche. La sensation de sucer sa propre bite. Incroyable. En fait c'est injuste, c'est plus facile pour un mec bien monté et souple, qu'un mec bien monté et raide comme une carotte. J'ai aucune chance. Pourquoi ne suis-je pas souple ?

 

Année 2000,

 

Mercredi 6 décembre,

En revenant du boulot, j'ai monté les marches de mon immeuble. Je me suis assis au milieu du parcours. Goran me manque. Je l'ai eu au téléphone, en ce moment, il est à Londres. Son père lui a mis dans la tête d'apprendre l'anglais. Vraiment taré cet homme. C'est comme ça qu'il est et c'est pour ça que je l'apprécie beaucoup. Je sors ma queue de mon jean. Je me branle en pensant aux marches du pensionnat. Humm! Je m'en fous si le gardien de mon immeuble me chope, il le saura comme ça ! Je kiffe les marches d'escalier.

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Ma première sodomie

 

Bonjour, Je suis un pur hétéro, j’adore faire l’amour avec des femmes mais j’avais un fantasme qui était de faire l’amour avec un homme.

Ce fantasme j’ai essayé de l’assouvir il y a quelques mois avec un homme.

En effet je suis allé sur internet et j’ai recherché des lieux de rencontres homosexuels, puis j’ai trouvé.

Je me suis rendu sur ce parking et pleins d’hommes étaient présents, je me suis garé et j’ai regardé. J’étais très timide je ne voulais pas aller au devant des autres, puis un homme a tapé à mon carreau, j’ai descendu ma glace et celui-ci m’a dit :

 « que recherches tu ? »

Je lui ai répondu que j’étais vierge avec un homme et celui-ci m’a répondu que c‘était  pas grave et il m’a demandé de descendre de mon véhicule et de le suivre, chose que j’ai faite.

Après quelques pas dans les bois l’homme s’est arrété, s’est retourné, et m’a embrassé. Pendant qu’il m’embrassait il me touchait sur toutes les parties de mon corps, moi ne sachant pas trop quoi faire, j’essayais de faire la même chose que lui. Quand il commença à me toucher le sexe au dessus de mon jean, je sentais mon sexe se lever et durcir, puis après quelques instant de carresse, je decidais de dégrafer mon jean et de lui présenter mon sexe dur au niveau de sa bouche très acceuillante .

Celui-ci commencis par me décalotter avec ses mains très expertes, ce qui m’excitait très fortement, et avec sa langue il commença à me lecher mes bourses, je bandais comme jamais.

Pendant ce temps là, je lui retirai sa chemise et carressait sa poitrine découverte, il pompait ma bite très fortement et plus il aspirait et plus je bandais. Il avait encore son jean et je tentai de  mettre ma main dans son panier, puis d’un seul coup il se releva et retira son pantalon et me dit :

 « voilà mon sexe, tu vas me pomper comme une chienne, espèce de puceau ».

Je m’executa et commençait a lui prendre son sexe dans ma bouche,il était totalement rasé et d’une grosseur très impréssionnante. Je n’arrivais pas le prendre entièrement dans ma bouche.

Je le suçais, et son bas rheins faisait des mouvements de va vient, et son sexe pénétrait ma gorge de plus en plus profondément. D’un seul coup il s’arréta, me releva, me plaqua contre la voiture, m’écarta les cuisse et me mis le doigt a l’entrée de l’anus. Son doigt me carressait, puis d’un seul coup il me mit le doigt d’un coup.

Après environ 2 minutes il me mis un deuxième doigt dans le cul, et me m’asturbait l’anus, je gueulais comme une chienne, c’était la première fois que j’avais quelque chose dans mon anus, il m’écartait m’ouvrait, j’étais en extase  complète, au bout d’une ½ heure de masturbation anal, il me dit :

« tu viens chez moi ».

J’avais très mal au cul, quand il m’a dit ça il avait 4 doigts dans mon anus qui faisait des aller et retour très fort. Me sentant pas bien je lui ai répondu que non, je voulais rentrer chez moi que j’avais le cul qui me faisait mal. Il me dit pas de problème, et nous nous sommes quittés.

Après cette rencontre, je suis allé sur des sites internet spécialisés au gays, je regardais les photos avec des hommes  qui avaient des sexes qui bandaient, en regardant ces photos je me branlais, et j’ai éjaculé une paire de fois sur mon canapé. Un soir j’étais très excité, je suis allé sur un site minitel, et j’ai donné commé pseudo « Puceau cherche bite qui me dépucèle ». Après quelques minutes de connexion, un homme me répondi « de quelle région es-tu », et je lui ai répondu que j’étais de l’Indre. Il me dis veux-tu que l’on se rencontre, et je lui ai répondu que oui.

1 heure après, nous nous rencontrions, j’étais très excité, je bandais. Nous nous sommes présentés, puis nous sommes allés à l’hotel. Une minute après êtres rentrés dans la chambre d’hotel, nous étions en train de s’embrasser, et il me carrassait, d’un seul coup j’ai tout arreté en le repoussant. Je lui ai expliqué que je n’avais jamais fait l’amour avec un homme , tout en lui disant je avais une première expérience homo il y a quelques mois et, tout en lui expliquant ce qui c’était passé auparavant, il me carressait le sexe, et je pu constaté qu’il bandait très fort. Il me répondit ne t’inquiète pas, je vais te carresser et te pénetrer très doucement.

Pendant ce temps là, ses mains parcourait mon corps, et il carraissait ma queue qui était dressée comme jamais elle avait été.

Pour une fois, je pris les devant en me baissant et lui déboutana son jean, j’étais vraiment excité. Son pantalon retiré, je découvris un string avec une bite très fortement élevé, qui dépassait de son slip. Voyant son gland je commençai à le lecher, je senti dans ma bouche une première goutte, je le masturbai de plus en plus fortemement, ses cris étaient vraiement jouissif, je banbais très dur, il me suçait l’anus. D’un seul coup il se retira de ma bouche et me dit je vais te défoncer. Mon anus n’étais pas prêt à accueillir une bite aussie énorme, celui ci se mis à doigter avec ses doigt, j’étais sa pucelle. Il se leva regarda dans le figro et trouva une bouteille, il l’a sorta du frigo et il dit en me regardant :

 « tu la veux dans ton cul, espèce de puceau ?

Je lui ai répondu :

 "non je veux ta bite."

Celui-ci posa sa bouteille et s’approcha de moi avec sa bite de 20 cm en me demandant de m’écarter, Chose que je fis, il me  présentais sa bite au bord de mon anus, il faisait bouger sa bite autour de mon cul ouvert et de ma bite qui était droite comme jamais.

Tout en s’agitant, son sexe me penetrait tout doucement, plus je sentais son membre me défoncer et plus je criais, puis un moment  j’ai senti ses couilles qui se frottaient autour de mes cuisses, a ce moment je sentais que j’avais une bite enfoncée au plus profond de moi je ne bandais plus mais j’avais très envi d’éjaculer. Puis l’homme s’est mis à faire des aller retour, à chaque fois qu’il était au plus profond de moi je criais car j’avais mal mais j’en voulais encore.

Il me traitait de chienne et me baisait de plus en plus fort, et moi je criais je jouissais et après quelques minutes il se retira , enleva sa capote, et me disa « suce moi » chose que je fis. Après quelques secondes de fellations, je  sentis au fond de ma gorge un liquide chaud s’écoulé au fond de ma bouche. Puis il se releva, se rhabillait tout en me disant :

"espèce de salope ta bien gueulé, maintenant va te faire enculé par une autre grosse bite".

Après cette phrase il est reparti, moi j’avais la queue toute dressé. Je me suis revetu et je suis rentré chez moi. Lorsque j’étais chez moi, je me suis branlé et à mon tour j’ai éjaculé et j’ai salopé mon canapé.

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Vive le train

 

L'année dernière mes amis étaient tous partis en vacances de leur côté et moi je suis resté seul, sans un sous en poche!!!!

J'ai malgré tout décidé de partir en vacances dans le sud de la France en train. On verra bien si le contrôleur passe et ce qu'il adviendra du fait que je n'aurais pas de billet !

 

Le jour "J" arrive, je suis dans le train avec autour de moi que des vieilles, j'aurai la paix pendant le trajet.

Quelques heures après le départ, le contrôleur arriva et me demanda mon titre de transport. Je dis immédiatement la vérité au controleur. Il me dit :

"attend, dans pareil cas, je suis obligé d'appeler un responsable pour savoir si tu dois descendre à la prochaine station."

Quand je vis au loin le responsable arriver, je me mis à bander immédiatement. Il avait le style méditéranéen, une belle pine se dessinait dans son pantalon moulant...

Il arriva, se tus un instant et dit à son collègue:

"Laisse nous, on va arranger ca".

"Arranger ca !",

"oui", me dit-il et je dus le suivre à l'arrière du train.

 

Arriver dans le dernier wagon, il ferma la porte et là, commenca mon bonheur ! Oui, car ce fut un véritable bonheur.

Il m'ordonna de lui sucer sa belle bite, bien droite, longue et sans défaut si je voulais continuer mon voyage... Je n'avais pas le choix ! J'étais obligé de le sucer (vous me croirez si je vous dit que cà était un suplice ? NON !)

Ensuite, je lui mis trois doigts dans le cul et il avait l'air d'apprécier.

Apres un moment, j'eu droit à sa bite dans mon cul, des doigts bienplacé, des 69 à n'en plus finir.

Depuis, on se revois de temps en temps dans le train et on se refait le même final à l'arrière du train.

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REVE ET REALITE

 

Cette nuit calme s'annonçait longue et ennuyeuse, mes collègues étaient allés se reposer dans une autre pièce me laissant seul devant les écrans et les téléphones. Je venais de passer quelque temps sur le net à chatter avec des mecs et à surfer sur des sites gays. J'étais chaud !

Je commençai à me masturber doucement. Le plaisir pris le dessus très vite et j'ouvris mon pantalon pour y passer la main. Je me caressai lentement à travers mon slip. Bientôt je sentis l'étoffe devenir humide et je sortis mon sexe.

 

Je bandais bien, le calme régnait et je poursuivais avec lenteur. Le bureau disparu pour laisser la place à la superbe villa de mes fantasmes où un grand nombres de garçons tous bâtis comme des dieux se promenaient nus autour de la piscine, ici offrant un sexe bien tendu à ma bouche, là comblant mes reins d'une longue, large et douce bite. Je pouvais presque sentir ce beau black qui me allait et venait en moi, de plus en plus vite, mes lèvres et ma langue mimaient la pipe que j'offrais à une queue inconnue tandis que mes mains masturbaient à tout va un monstre de 25 centimètres et large d'au moins 7 !

 

Un quatrième complice parvint encore à m'offrir son anus et je le pénétrai à la faveur d'un formidable coup de rein de mon beau black qui s'enfonça jusqu'à la garde. Mon bonheur était total, j'étais devenu un objet sexuel, tout mon corps vibrait de plaisir.

 

Alors que j'étais bien loin dans mon trip un bruit insolite se fraya un chemin jusqu'à mon conscient. La porte ! La porte du couloir venait de claquer ! Vite je remballe mon érection dans le pantalon devenu trop étroit mais pas le temps de remonter la brayette que déjà mon visiteur entre dans la pièce.

 

C'est un beau jeune homme à l'uniforme impeccable qui s'adresse à moi dans un anglais chantant. Mon trouble doit être visible car il me demande si je vais bien. Je passe outre sa question et lui demande l'objet de sa visite, il est en effet plutôt rare d'avoir un visiteur à cet heure de la nuit. Il me demande un document qui, en effet, n'attendait qu'un coursier pour être délivré.

 

En se penchant pour signer le registre, l'administration a du bon !, il remarque que mon trouble, loin de s'être dissipé, s'est encore amplifié. ..Son regard croise mon regard et, sans rien dire, il avance la main pour la glisser dans mon pantalon resté ouvert. Je reste pétrifié mais toujours au garde à vous. Ses gestes sont sans équivoques, je lui fait signe de passer derrière mon bureau, l'invitant à me rejoindre. Il s'agenouille devant moi, sort délicatement mon sexe de mon pantalon et de mon slip. Il le regarde avec gourmandise quelques secondes puis s'approche et l'avale tout entier. Sa langue joue sur mon gland. Je suis tendu comme un arc, il comprend que je ne vais pas tenir bien longtemps et il accélère le mouvement. D'une main il serre la base de ma queue tandis qu'avec l'autre il me caresse l'anus. Lorsque son doigt me pénètre lentement, complètement, j'explose dans sa bouche et il boit goulûment ma semence chaude. Il s'attarde encore quelques instants, léchant jusqu'à la dernière goutte et se redresse.

 

La bosse dans son pantalon est une invitation que j'accepte sans attendre. En trois mouvements bien exécuter il se retrouve avec le futal et le slip sur les talons m'offrant son étendard gonflé de plaisir. Je l'avale doucement, serrant juste mes lèvres sur son gland. Il m'attrape la tête et d'un coup s'enfonce jusqu'au plus profond de ma gorge, il lui faut de l'action et je m'exécute.

 

Je le pompe violement, son souffle se fait rauque. Il me fait comprendre qu'il va venir, je l'attrape, plaquant mes mains sur ses fesses bien fermes et l'enfonce plus loin encore, serrant légèrement les dents.

 

Il explose avec force, en longs jets délicieux légèrement salés. Je bois jusqu'à la dernière goutte de son plaisir. Il recule d'un pas et il remarque mon sexe encore gonflé.

 

Il revient à la charge et m'enlève mon pantalon et mon slip.

 

Je suis toujours assis, le sexe dressé et offert, il s'approche et se place pardessus moi. Son anus s'ouvre comme une fleur exquise et il s'enfonce jusqu'à la garde, accroche ses mains au dossier et relève ses jambes.

 

Je suis au paradis ! Jamais je n'avais imaginé pouvoir aller si loin dans un cul chaud et avide. Je passe mes mains sous ses fesses et commence alors à le lever, le laisser redescendre, encore et encore. Son sexe frotte sur ma poitrine. Je sens que cela ne va pas traîner longtemps. Bientôt il montre les signes avant coureur de l'éjaculation, je me retenais déjà depuis un bon moment et je peux enfin me laisser aller. Je le lâche et il me reçoit complètement, il contracte ses muscles en une étreinte incomparable et j'explose dans ses reins tandis qu'il nous arrose tous deux de son sperme abondant. Nous restons un moment dans cette position à reprendre notre souffle. Puis il se libère, remonte son pantalon, ajuste sa tenue, me donne un baiser torride et quitte la pièce. Je reste seul avec son odeur douce sur la peau.

Lentement mon sexe perd de sa superbe et je peux me rhabiller. Vivement la prochaine nuit !

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CAILLERA

 

J'suis une vraie tepu, ou une bonne lopsa comme disent les rebeus. Eux, c'qu'ils kiffent, c'est une bonne bouche mouillée comme la mienne pour gicler tout c'qu'ils ont au chaud dans le fond de leur survet.

 

Je sais, c'est pas très sérieux. mais quand le p'tit bâtard que tu suces te bloque la nuque et qu'il a sa teub fourrée au fond de ta gorge, tu peux pas te retirer quand il balance la purée, t'as plus qu'à tout avaler.

En fait, je me suis un peu calmé depuis quelques années, à cause de c'te saloperie qui traîne, j'te fais pas un dessin. Mais avant, quand les rebeus étaient pas encore des scarlas en costla, mais juste des keums bien auch prêts à défoncer le cul et la bouche des céfrans comme moi, putain quel pied ! J'ai été élevé au lait de rebeus, des litres et des litres, assez de sperme pour renouveler trois fois la population de la planète en temps normal. Je kiffe grave les rebeus, ce sont les rois du monde. Quelquefois j'en veux même à ma reum et mon daron de pas avoir des chromosomes du Maroc, de Tunisie ou d'Algérie, et d'avoir fait de moi un p'tit blanc juste bon à se faire niquer dans tous les sens.

 

La première fois, j'avais 18 ans, dans un putain d'ascenseur en panne, ouais, tu penses « ce mec est mytho » mais tout est vrai, de la pure vérité, man ! Donc c'était dans un putain d'ascenseur, en plein été, chaleur à crever. J'avais passé mon temps à mater les pures keums de mes rêves en train de jouer au foot sur le terrain de la cité d'à côté.

Kamel, Youssef, Farid, Sami, Kader et des dizaines de keums aussi bandants les uns que les autres.

 

Alors moi, ptit céfran de merde, j'suis là, accroché à un grillage à mater. J'me prend le ballon, j'me fait insulter « pédale ! casse-toi enculé ! ».

Et là, plutôt que de me barrer, je leur fait un doigt. Putain ! La meute au cul, je détale comme un lapin. Encore trois derrière mes fesses, deux, puis plus qu'un. Une entrée d'immeuble, j'entre, trouve pas l'escalier. L'ascenseur est là, portes ouvertes, prêt à partir. Et moi comme un con, j'entre dans la petite boite. Je me retourne, il est là, me pousse dans le piège. Les portes se ferment. L'ascenseur grimpe, mais je m'en rend pas bien compte.

 

Le keum vient de me foutre son poing dans la gueule, je suis sonné. Le « monte charge » s'arrête d'un coup. Mon agresseur s'en branle, y me tape encore, m'attrape par le col et me regarde droit dans les yeux. « Putain ! des ptites lopes comme toi, j'en ai niqué des tas ».

Il a 17 ou 18 ans, je le kiffe grave de chez grave. Je bande. Il s'approche encore et son survet est collé à ma braguette. Je transpire comme un ouf. Ascenseur bloqué.

 

Le keum m'attrape la nuque et me pousse vers le bas, contre son survet qui a gonflé en deux minutes. J'suis hypnotisé, je pense plus qu'à sa teub. J'suis à genoux, il a sorti son zob et me tape sur les joues avec.

 

« Tu nous a fait un doigt, d'taleur, j'vais t'faire payer. suce ! ».

 

Elle est grosse. J'ouvre la bouche et il pousse sa teub au fond, elle glisse sur ma langue, cogne sur mon palet et entre entière. J'attrape ses boules, elles sont pleines, c'est sur. Je suis puceau, mais pour une première, j'crois que j'me demmerde pas trop mal. Il passe son t-shirt au dessus de sa tête. Ses muscles sont tendus. Je le regarde dans les yeux, il'm'traite de pute, écrase ma tête sur lui et balance trois, quatre giclées au fond de moi. J'avale, sans réfléchir. Moi aussi j'ai joui, sans rien faire, dans mon froc.

 

Pas le temps de reprendre mon souffle, il me retourne, baisse mon fute en me traitant de pédale et me fout à quatre patte, comme une chienne. Putain d'ascenseur bloqué. Il crache de la salive sur ma rondelle vierge. Je sens son zob contre mon trou. Il pousse d'un coup et me défonce. Il se retire et replonge dans mes entrailles. Je gueule pas. De toute façon, il m'écrase la gueule sur le sol crade.

L'ascenseur redémarre. Cinq secondes, dix secondes, quinze aller-retour dans mon cul et il jouit dans moi. Pas le temps de sentir son sperme dans mon rectum. Il se retire de mon cul et remonte son survet. Moi, comme une chienne en chaleur, je reste sur le sol de l'ascenseur.

 

Les portes s'ouvrent. 15ème étage. Personne. Il me regarde. Se marre. Me balance un coup de pied dans les côtes et appui sur le bouton « 3ème sous sol ».

La cabine descend. A chaque fois que je veux me rhabiller, il me tabasse et me traite de salope. 2ème, 3ème sous sol. Les portes s'ouvrent. Et là. toute la bande attend devant l'ascenseur...

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Garde à vue torride aux States

 

Mon aventure se déroule en Californie. Etudiant pour devenir prof de sport, j'étais allé passer mes vacances d'été chez des amis américains, où j'avais profité des plages gays, et des beaux mecs bodybuildés.

Un jour, je décide de me promener dans l'arrière pays en moto. Je roule sur de longues routes désertes au moment où je suis rejoint par deux policiers en moto qui veulent controler mes papiers. N'ayant pas ces papiers sur moi, ils me demandent de les suivre, et nous arrivons au bureau du shériff, dans une petite bourgade.

Là, je détaille mes deux policiers, l'un blanc, l'autre black, tout deux batis comme des armoires et pratiquant, comme beaucoup d'hommes dans cette région, la musculation. Moi même, je suis particulièrement bien musclé du fait de mes études.

Visiblement mes réponses à leurs questions ne les satisfont pas. Le blanc me demande de me désaper, et voyant que je proteste, il m'envoie un coup dans l'estomac, et me dit d'activer. Je m'excécute donc, et je me retrouve en string devant eux.

Le policier me traite aussitôt de pédé : il faut dire que la découpe échancrée et moulante de mon string fait ressortir la grosseur de ma queue et de mes couilles. Il me retourne violemment contre le mur et me passe les menottes aux poignets, les mains dans le dos.

Là, je commence à me dire que je risque de passer un sale quart d'heure. Le blanc m'envoie valser sur le bureau, il m'écarte les cuisses et commence à me peloter les fesses.

Pendant ce temps le black me dit que puisque j'aime bien les queues de males, ils vont me faire profiter de leurs bites. Et aussitôt, il sort un membre épais à moitié raide qu'il passe sur mon visage. Puis, me prenant par les cheveux, il enfonce son sexe au fond de ma gorge et s'active par des va-et-vient, ses énormes testicules butant contre mon menton.

Derrière moi, le policier blanc m'écarte à nouveau les cuisses, et je sens la lame d'un couteau au creux de mes reins juste sous la ficelle du string, qu'il coupe d'un coup sec, libérant mon sexe. Il me traite à nouveau de sale pédé à la vue de mes couilles rasées.

Il passe sa matraque le long de ma fente, et en enfonce sans ménagement une bonne longueur dans mon cul. Celà me fait gémir encore plus, et il remplace rapidement sa matraque par son membre raide. Ils s'activent ainsi pendant une bonne heure, changeant de position à tour de rôle.

A la fin, le blanc se vide par de longues saccades dans ma gorge, m' obligeant à avaler son sperme et le black dans une dernière poussée, gicle dans mon cul une impressionnante quantité de foutre qui dégouline entre mes cuisses.

Je crois que j'en ai fini avec ma "punition", lorsque le policier blanc sort d'un placard un énorme gode : une bonne trentaine de cm de long, une dizaine de large, un énorme gland et une tige veinée, le tout reposant sur deux testicules à la  dimension, permettant à l'ensemble de tenir droit. Il le pose sur le coin du bureau, et chacun des policiers me prends sous les bras et sous les cuisses. Et dans cette position, m'écartant les cuisses, ils me déposent sur cet instrument, mon cul effleurant ce gland monstrueux.

Lentement, ils se penchent et je sens un déchirement de mes muqueuses qui me fait presque évanouir.

Heureusement pour moi, le foutre du black qui a rempli mon cul sert de lubrifiant et petit à petit je m'empale sur le sexe jusqu'au moment ou mon cul repose sur les testicules du gode.

Imaginez vous trente cm au fond de votre ventre, mes jambes reposant le long du bureau. Amusé par ce spectacle, les policiers amènent dans le bureau un jeune homme, visiblement retenu contre son gré lui aussi. Le menaçant de lui faire subir le même traitement, il l'oblige à me pomper la queue.

Ce traitement mélant douleur et plaisir sadique, fait monter en moi un orgasme puissant et je crache mon foutre par jets puissant dans la gorge chaude du mec.

Une heure plus tard, ils me libèrent, et je rentre chez mes amis leur raconter mon viol collectif, qui finalement me laissera un souvenir inoubliable !

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Les racailles

 

Un soir chez un pote hétéro que je connais depuis de longue date mais qui ne sait pas que j'ai un coté lopesa, j'étais bien defoncé, on rigolait mais sa meuf commençait à tiqué alors vers 21h j'ai dit tchao ! a+.

 

Il habite en cité dans le 93, j'ai descendu les 9 étages et en sortant de l'ascenseur je vois 6 rebeus dans le hall qui tchatchent. Je commence à partir en jetant un bref coup d'oeil car je kiffe bien les rebeus... et l'un d'eux me regarde, voit mes yeux bien éclatés . Je lui souris et acquiesse tout en allant vers la porte.

 

Je dois préciser que je suis vrai bogosse céfran et que je fais bien kiffé les keums généralement. Kaled (c'est son prénom) me propose de ne pas partir tout de suite et de rester avec eux. Un peu méfiant mais intéressé et avec l'idée d'avoir l'occase d'en connaître un de plus près, je fais demi tour et reviens vers eux. On parle un peu je commence à vouloir rouler un zbir mais me disent qu'il y a trop de passage ici qu'ils vont dans l'escalier. Je les suis, bien confiant car ce sont mes potes maintenant surtout Majid que je kiffe grave, une masse le gars, les autres aussi mais lui c'est un truc de ouf.

 

On arrive dans une cave que je comprend abandonnée par leurs locataires genre squat mais tranquille, un caddie, un vieux matela pourri d'oréoles de moutrave bien dégueu dans un coin. Je suis cool, ils sont sympa on rigole bien... sur tout et rien. Karim et Samir me regarde bizarre, avec des yeux de vicelard mais ça me plait, je les trouve de plus en plus kiffant et je peux pas m'empécher de zieuter leurs braguettes et ça semble très prometteur surtout la bosse de Majid, et 2-3 autres que j'ai repéré.

 

Au bout de 15-20 mn, ils parlent rebeus et moi je comprends qu'dalle, Kaled passe derriere moi et me tate le cul, je lui dis "oh qu'est ce tu fais?", il me dit "vas-y joues pas ta chochotte" et la devant moi, Majid baisse son fut et je vois un calibre mon gars ouf !!!Elle gonfle à vue d'oeil, elle devient énorme au moins 23x6 ou 7, mon reflex est d'exploser de rire mais éxcité car défoncé. Je m'en tape je me mets à genou direct.

 

Alors là , ils sont devenu ouf de chez ouf, en fait ils étaient pas sur que j'allais vouloir mais en 2 secondes j'avais 6 bonnes grosses teubs d'arabes rien que pour moi du 19cm à 23cm ( Majid la plus monstueuse ). Y a pas à dire les rebeus sont les meilleurs même Saïd et Karim qui étaient plutot timides, se sont laché direct.

 

J'ai commencé à pépon de partout j'en voulais grave mais une bouche pour 6 c'est pas évident ça sentait la biroute mortel, je sais pas si ils se lavent tout les jours la teub mais bon m'en fous : trop kiffant. Je pompais bien à fond et Kaled a éjaculé dans ma gorge, j'ai pas eu le temps de retenir koi que ce soit. Il a une teub de 20cm mais bien épaisse genre 7, j'avais la bouche en feu. Majid voulait que j'enlève mon jean, je préfèrais juste le mettre au genou mais lui voulait l'enlever complètement pour bien m'écarter les jambes et me foutre sur le matela pourri. J'étais pas chaud car trop crade mais vu la masse je ne pouvais plus reculer. Je me suis fait déchiré le cul par Majid, je hurlais mais lui continuait et les autres me baisaient la bouche pour que je la ferme, j'en ai pris plein le cul. En fait ils ont pratiquement tous craché dans sur mon trou d'balle sauf said je crois qui m'a fait une faciale. Après ils ont vraiment joués, c'est Majid qui a commencé à me pisser dessus et j'étais assis sur le matela le cul à l'air et les 6 rebeus autour a moutrave sur moi j'étais un peu dégouté mais bon j'ai cru que je reverrais jamais le jour. Ils ont rigolé, m'ont dit que j'avais assuré comme lopesa et que si je repassais par la que je jette un oeil dans la cave au cas ou.

 

Je suis arrivé sur le parking de la cité vers 0h15 en étant parti de chez mon pote vers 21h. Quand j'ai vu l'heure je suis devenu ouf, une fois dans ma voiture je réalisais ce qui venait de m'arriver et j'étais finalement content de moi. Mon pote ne sait rien de cette aventure et les rebeus ne savent pas d'où je venais car ma voiture était garée de l'autre coté des fenêtres. Mon pote pensait surement que j'étais chez moi depuis belle lurette.

 

Un grand merci à mes 6 rebeus trop bien teubés et surtout Majid que je kiffe trop.

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Mon premier coup

 

J'étais coincé dans les embouteillages pendant plus d'une heure, la clim m'avait donné soif. Profitant de la proximité d'un bar gay, je m'y rendis rapidement sans arrière-pensée. Je me retrouvais donc accouder au bar. Je commençais à me sentir inconfortable, les hommes me regardaient fixement, j'essayais d'être nonchalant, sachant qu'ils voulaient mon jeune corps. Tout juste 25ans.

Je venais de plaquer ma copine et pensais qu'il fallait que j'ose faire un pas vers les mecs. J'y pensais tellement.

Je commençais à trouver que ma présence dans ce bar était une erreur. Je terminerai juste ma bière et puis je m'en irai.

Quand je vis un homme en face de moi, d'une beauté déconcertante. Une beauté étrange. Ca y est je fantasmais.

Personne ne m'avait apporté autant des sensations. Il marcha vers moi tranquillement et s'assit à trois tabourets de moi, il passa sa commande: une Heineken.

Il versa sa bière dans son verre, je l'observais du coin de l'oeil. Il était grand, bien construit, musclé. Brun foncé, ses cheveux étaient légèrement humides et il portait une barbe de trois jours.

 

Puis d'un coup, il s'approcha de moi et commença à entamer la causette. Il me raconta qu'il était ancien taulard, il était venu à Paris pour fuir son ancienne vie, pour la recommencer.

Il était en short blanc avec un marcel qui laissait transparaître les poils de ses aisselles. Il sentait bon la sueur. J'en bandais grave. Une odeur de mâle. Une odeur de fauve qui appelait littéralement à la folie. Je n'avais jamais vu un homme aussi bandant.

Mr Reebocks blanc, c'est ainsi que je l'appela, m'invita ensuite à trinquer avec lui. Au travers de son marcel, je pouvais voir son mamelon imberbe, son bras gauche était tatoué. Je souriais connement car je ne savais pas quoi faire d'autre. La lumière dans le bar illuminait son visage. Pendant environ dix minutes nous restâmes assis là. Par moment, les silences furent longs mais tellement communicants. J'essayais de voir ce qui était entre ses jambes, impossible. J'étais tout excité. Mon premier mec, ma première excitation. C'est sûr, plus de doutes, fini les nanas. Jamais elles m'excitèrent autant. Je peux même dire qu'il aurait suffit d'un simple effleurement pour que j'éjacule. Ma purée ne demandait qu'à sortir. Quel précoce, j'étais ce soir là!

 

Il m'attrapa la main, me regardait et souriait, comme s'il compris exactement ce que je ressentais pour lui. Comme s'il savait ce que je voulais de lui. Je déplaça ma jambe nue pour être en contact avec la sienne.

Nous avons commandé ensuite une autre bière et parlâmes pendant près d'une heure : au sujet de ce que nous avions fait dans notre vie, quels livres nous avions lu... Il m'affirma qu'il était seulement entré ici pour une bière, et qu'il n'était pas un habitué des lieux. Je lui dit que je n'avais jamais été dans un bar gay avant, il souriait. Je lui ai raconté mon histoire: mon fantasme d'être avec un homme. Il saisit ma main et l'amena sur son paquet, doucement, regardant dans mes yeux.

Nous sortîmes du bar et nous marchâmes près d'une heure dans le marais. Il m'emmena chez lui. Je m'assis sur son divan pendant qu'il allait à sa cuisine chercher d'autres bières. Il revint et se mit juste à côté de moi, posa son bras derrière mon dos. Je mis ma main sur sa cuisse et remarqua que son mamelon durcissait. Sa tête se déplaça vers la mienne et nous nous embrassâmes. Profondément, affectueusement, pas encore passionnément.

Il me mena dans sa chambre à coucher. Nous nous laissâmes tomber sur le lit et mes mains se glissèrent sous son T-shirt, frottant son estomac, puis son pubis, je pinça légèrement ses mamelons durcissant. Je sentit son phallus durcir. Je voulus tout de cet homme. Il cessa le baiser, puis se pencha en avant en grignotant mon oreille, je sentais son chibre énorme contre le mien, ses lèvres molles léchèrent mon cou, sa langue laissa une traînée de salive, il enleva mon t-shirt et dirigea sa langue le long de mon corps vers mes seins. Il tira mon mamelon dans sa bouche, sentant nos corps forts, contre l'autre, chauds, mous.

Je me mis à mon tour à le lécher puis me dirigea vers sa bite prête à sortir de son short. Je glissa ma main vers le bas, pris ses couilles dans mes mains. Et entraîna son short vers le plancher. Il tira mon short aussi vers le bas, Je lécha son prépuce suintant de mouille. Avec ma bouche pleine de salive je pris son sexe dans ma bouche, son engin turgescent ne laissait aucune place dans ma bouche.

Je me mis à le pomper doucement. Sa  queue sentait le male en rut. Il commença à me frotter l'anus, à me rentrer doucement ses doigts dans mon cul. J'étais ouvert.

Je lui chuchota "s'il te plaît, fais-moi l'amour", il entra dans la salle de bains, et revint avec du gel. Il me guida au lit, et je m'étendit sur mon estomac. Il me mordillait l'oreille et me dit "je ne vais pas uniquement te faire l'amour, je vais t'enculer comme jamais tu ne l'as été". Il avait raison, jamais on ne m'avait enculé.

Il commença à me masser l'anus avec la vaseline. Rentra et ressortit son doigt de mon trou.

Puis je regarda au-dessus de mon épaule, pour le voir prendre une noisette de gel, enduisant son membre gonflé, il mit un préservatif puis l'enduit de lubrifiant. Je souleva mes hanches vers le haut, gardant ma tête sur le lit, et il me pénétra. Je pouvais sentir ses couilles buter sur mon cul. Il me possédait et j'aimais ça. Il m'enculait de plus en plus fort, il essayait de faire rentrer ses burnes dans mon trou totalement dilaté. Hum que c'était bon.

Son corps transpirait et il suintait sur le mien. Tel un étalon, il me niqua pendant pratiquement 2 heures. Dans toutes les positions, ma préférée étant celle, à quatre pattes où je me sentais complètement lui appartenir. Il me mis dans toutes les positions inimaginables. On testa même son balcon. L'idée que ses voisins purent nous apercevoir me faisait bander encore plus. Moi le petit hétéro complètement possédé par lui, le mâle.

Jamais je n'avais imaginé que cela était ainsi, jamais je ne pourrais décrire ce que cela était comme sensation. Il me lima de plus en plus fort et de plus en plus rapide, je sentais bien que sa jouissance était totale, il hurlait à chaque mouvement dans mon âme. Il me claquait en même temps le cul.

 

Nous terminâmes mon dépucelage sur son clic-clac. Moi sur le dos, les jambes en arrière. Il se cramponnait au canapé. Il me nikait et il nikait à la fois son sofa. Quelle puissance dans le coup de rein. Puis il poussa un énorme cri de jouissance, il lâcha toute sa purée. Cela me procura immédiatement mon éjaculation. Y'en avait partout. Il léchait mon corps recouvert de ma semence. Il se retira de mon cul et enleva sa capote faisait ainsi couler son trop plein de foutre sur mon corps. Je n'en  pouvais plus. Mon cul en saignait mais c'était tellement bon de se sentir ouvert.

Sa langue remontait le long de mon corps et il emmena mon foutre vers ma bouche. Nos baisers furent profonds et salés. Nous terminâmes la nuit ensemble dans son lit. Dans ses bras, je me sentais protégé, je me sentais bien...ça y est j'étais pédé.

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Le serveur

 

Je suis directeur de restaurant dans le var. Tous les ans nous avons un personnel saisonnier qui arrive plus ou moins de bonne valeur mais on fait avec. Depuis un certain temps de l'argenterie disparaissait et cela commencait à chiffrer. En accord avec les differents autres responsables nous nous étions descidés à effectuer une surveillance discrete aupres du personnel. Un soir apres le service je vis l'un des serveurs que nous venions d'engager partir precipitamment vers le vestiare. Sans rien dire, je le fis demander dans mon bureau. Tous les autres employes etaient partis quand il entra :

- Bonjour lui dis-je, tu te doutes du pourquoi de ta presence ici?

- Non me repondit t'il

- Depuis un certain temps de l'argenterie disparait au point qu'aujourd'hui il nous faut refaire tout le service du restaurant juste avant la saison

- oui je comprend

- aussi vois tu un inconvenient à ce que je fouille ton sac ?

J'etais assis derriere mon bureau en manche de chemise et lui debout devant moi en jean et polo blanc. Il avait un peu palit mais ne fit qu'acquiece.

- oui, bredouilla t'il.

Je me leve et prend son sac a ses pieds, le pose sur le bureau et commence a sortir tout ce qu'il contient. Hormis des chemises chaussetes chaussures peignes et autres accessoires propres aux serveurs, je ne trouvais rien. J'allais le reposer quand un bruit metallique se fit entendre dans le double du sac se trouvait une fermeture eclair, je n'eu qu'a l'ouvrir pour y decouvrir une dizaine de cuillere à potage en argent. Je les pris en main et me retourne vers mon jeune serveur.

- He bien voila un probleme de resolu ne dirait t on pas?

il etait bleme, ne disait rien et regardait la pointe de ses chaussures.

- Cependant je voudrait etre sur qu'il n'y a rien d'autre.

- non non je vous jure il n'y a rien d'autre

- Ah  oui !!!!!!!!!!!! ecoute je vais m'en rendre compte moi meme, tu n'y vois pas d'inconvenient??

Il me regarde avec de grands yeux interrogateurs .

- Comment cela?

- allez donne moi ton blouson!

il me le tend, je le fouille. Vide les poches

- allez donne moi tes chaussures et tes chaussettes

maintenant le voila qui s'execute, je regarde machinalement ce qu'il me tend.

le teeshirt il a un moment de battement

- allez fis je d'un air severe, il le retire et me le tend, il est plutot mignon comme je les aime. 22 ans, imberbe bronze comme on peut l'etre sur la cote grand Brefff

- ton jean maintenant

- mais monsieur qu'est que vous voulez?

- ecoute c'est ca ou j'appelle la gendarmerie. Si les gendarmes mettent un pied ici tu repars avec eux, tu perd ta place sans indemnite ni chomage et en plus tu remboursera ce que tu as vole, tu as compris???

- oui monsieur

- ok alors ton jean et vite il defait son centuron, ouvre son jean qui decouvre un boxer blanc moulant le defait et me le tend. il est debout en boxer devant moi les mains devant son sexe, la tete baissee. je tate le jean un instant tout en tournant autour de lui, J'en profite pour matter ses fesses bien dessine sous le boxer, je pose le jean sur le bureau et me place face a lui

- et la dessous que cache tu ? dis je en montrant ses mains

- mais rien repondit t'il en levant ses yeux sur moi

- he bien si il n'y a rien a cache tu vas pouvoir me montrer, n'est ce pas?

- mais.....

- il n'y a pas de mais qui tienne, tu sais quel en est l'enjeu ?

- vous me promettez de ne rien dire,  dit'il d'une petite voix?

- promis dis je d'une voix rassurante, si tu fait ce que je te demande tu n'auras aucun probleme

il reflechiis 30 s et ecarta ses mains decouvrant la bose de son sexe sous le boxer

- eh bien voila mais tu m'as mentis

- non je ne vous aie pas mentie

- oh que si ! Et ca c quoi? dis je en pointant mon doigt vers sa queue ?

- mais c'est....

- enleve ton boxer que je me rende compte

il regarda a droite puis a gauche et doucement passa ses doigts sous la ceinture de son boxer qu'il descendit a mi genoux

-non non enleve le allez, il s'executa.

De le voir nu ainsi dans mon bureau fit faire a ma queue des bonds que je controlais mal. La situation etait on ne peut plus exitante mais ne voulut pas la poursuivre plus loin. Je retrournais derriere mon bureau

- allez rhabille toi et rentre vite mais a l'avenir, je ne veux plus entendre parler de toi ici. t'as interet a faire ton boulot convenablement et sans vague on est d'accord !

- oh oui monsieur merci monsieur, en un eclair il etait rhabille et partit. Dois-je vous dire que ma queue fut a l'honneur des qu'il eu claque la porte.

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Idylle sous les tropiques

 

A l'époque j'étais cadre dans une grande entreprise à Lyon. L'été approchait et j'étais très heureux car j'avais travaillé comme un dingue toute l'année ! Enfin les vacances !J'avais décidé de partir très loin de la France pour un dépaysement total. Je partis donc vers un archipel du Pacifique.

Dès la descente de l'avion, je fus accueillis par de jolies jeunes filles qui mettaient des colliers de fleurs autour du cou de chaque touriste. Un vent chaud et doux venait caresser mon visage, c'était trop cool. Seul ombre au tableau : je pensais que dans ces îles je n'allais pas trouver un ou des mecs sympas, comme à Lyon...

 

Le premier jour, je restai au lit pendant près de 20 heures à cause du décalage horaire. Idem le deuxième. Et cela dura une bonne semaine !!!! Après cette semaine à roupiller, on frappa à la porte (comme tout les matins d'ailleurs, mais je n'avais jusque là jamais répondu !).

 

-Entrez ! Fis-je, avec une voix de déterré. Et là, je restai bouche bée. Un magnifique métisse entra. Il devait faire au moins 1m90 pour 80kg. Il semblait avoir tout juste 20 ans. Sa peau était somptueuse, ses yeux était d'une noirceur impressionnante. Il était admirablement bien musclé.

 

D'une voix virile, mais douce, il me dit :

 

-Bonjour Monsieur, je vous apporte le petit déjeuner. Il est 9h30.

 

Je lui souris pour le remercier, et il me rendit un tendre sourire. Il sorti. J'étais sous le charme.

 

Après ce copieux p'tit déj., je me décidai à aller vadrouiller dans l'île pour trouver une p'tite plage tranquille. Le temps était clair, et il devait faire au moins... 40°C à l'ombre !!!! Il était presque 11h00 quand j'arrivai dans une crique déserte. J'installai une serviette sur le sable fin et brûlant et me précipita dans l'eau claire, pure et chaude. Je fis quelques brasses... et me calmai. Il n'y avait aucun bruit. On entendait à peine l'océan aller et venir.

Cependant, derrière des rochers que je voyais à une centaine de mètre de moi, des rires se faisaient entendre. Je me rapprochai et les rires se changeaient parfois en mots incompréhensibles. Ce devait être sûrement un dialecte local. J'étais collé enfin tout près des rochers quand les bavardages cessèrent et laissèrent place à des bruits... douteux. Des râles. Des grognements !

Doucement, je sortis de l'eau et grimpai sur les rochers. Stupeur ! Derrière les rochers, il y avait une toute petite plage sur laquelle un beau black était en train de sodomiser un autre mec. Le black allait et venait de plus en plus fort et l'autre mec gémissait.

 

Que faire ? Ca faisait des jours que je n'avais pas baisé, mais déranger ces deux jeunes hommes serait déplacer de ma part... Aaaaaaah, j'avais tellement envie de me faire prendre part ces mecs !!!Tant pis ! Je décidai d'y aller, au risque de me faire rejeter. Je m'allongeai à côté d'eux, comme si de rien était et je m'aperçu que le mec qui se faisait défoncer était le jeune métisse de l'Hôtel !!!! Les mecs s'arrêtèrent dans le feu de l'action.

 

-Tu veux quoi, toi ? demanda agressivement le black. T'as un problème ?

 

Le jeune métisse dit alors :

 

-Il veut p't-être participer...

 

J'acquiesçai. Le black se retira du métisse. Je fus très impressionné : le mec avait un sexe énorme ! Au vue de nez, il devait faire au minimum 30 cm !!!! Et il était si large que lorsque je me mis à le branler je n'arriver pas à refermer ma main !!!!!!! J'enlevai mon maillot de bain et mon sexe se redressa d'un coup. J'étais si excité qu'il était dressé et dur comme du béton. Le beau black me pris alors violemment la tête et me força à le sucer. Le sexe était trop gros. J'avais du mal à l'avaler. C'est tout juste si j'arrivai à avoir son puissant gland foncé. Au même moment, je sentais le métisse qui me lécher l'anus. C'était divin. Le black devenait de plus en plus violent. Je faisais mon possible pour le satisfaire. Et l'autre commença une douloureuse pénétration. Le métisse aussi avait un sexe impressionnant. Il devait être long et gros comme un bras d'adulte !!!!! Heureusement il commença, après de douloureux va-et-vient, à mouiller. Ce qui servit de lubrifiant et la douleur se transforma en plaisir intense. Je me demandais toutefois comment mon petit cul pouvait supporter cet énorme engin qui me défonçait.

 

Un long moment après, le black déversa dans ma bouche de grosses giclées de sperme. Je sentais les jets épais, gluant et chaud taper au fond de ma gorge. Il me traite de salope, de chienne, et en même temps il était en train de vider ses énormes testicules poilus. Il retira sa queue d'éléphant de ma bouche et continua à déverser se semence sur mon visage. Ces couilles étaient si grosses qu'il aurait pu remplir une canette entière avec son foutre. Il y eu au moins 6 ou 7 longs et puissants jets sur mon délicat visage de jeune français. Quand au métis je sentais qu'il allait jouir. Je le supplia de se retirer avant l'éjaculation, mais il n'en fit qu'à sa tête et cracha son foutre brûlant dans mon intestin ! Il y en avait tellement que ça dégoulinait et je sentais le sperme gluant couler le long de mes cuisses.

 

Le soleil tapait. Tous les trois nous transpirions comme des boeufs ! L'odeur de la sueur se mêlait à celle du sperme. C'était trop bon. J'étais pris en sandwich entre un jeune métisse et un puissant black trop bien monté. Mon corps était couvert du produit de leur testicules.Le black m'ordonna alors :

 

-Met-toi sur moi, espèce de salope ! Je veux t'défoncer ton sale cul de blanc !!!

 

Je m'exécuta. Son corps d'ébène était allongé sur le sable blanc. Et son pénis gigantesque se dressait et semblait monter jusqu'aux cieux. Le gland brillait et un liquide transparent coulait encore le long de sa verge. Je pensais que tout à l'heure il avait déverser l'équivalent de ce que produit un homme normal pendant un an et qu'il était rassasié, mais apparemment non. Il en voulait encore.

 

Je me mis au-dessus de lui et me mis à descendre ma croupe. Je sentais son gland frôler mon trou qui commençait à se refermer. Et doucement je descendis de plus en plus. J'avais plus de 30 cm en moi !!! Je commence un délicat va-et-vient. Il commençait à gémir de plaisir et insista pour que j'accélère.

En face de moi, le métis me présenta son beau cul que je mis à lécher. Ma langue s'engouffrait parfois dans son trou foncé. En même temps, la grosse queue du black me faisait mal. Il m'insulta et me dit d'arrêter. Il se releva, me retourna et me culbuta violemment. La douleur était atroce. Et je continuais à lécher le trou de balle du jeune métis qui prenait son pied et se branlait en même temps. Le black me défonçait si fort que les larmes et les cris me venaient. Il m'insulta et m'ordonna de me taire. Pour que je ne crie plus, son complice m'obligea à lui bouffer le cul. Je ne pouvais presque plus respirer. Et je sentais l'odeur "délicate" de son anus... Le métis éjacula alors sur le sable. Le gros black me plongea alors le visage dans le sable, sur la semence encore chaude. Je sentais qu'il allait jouir. Il se retira et je sentis de longs jets de sperme gluant atterrir sur mon dos.

 

C'était fini. Les deux compères s'en allèrent en me laissant couvert de foutre sur le sable. Je n'en pouvais plus. J'étais si fatigué que je ne sentais plus mon corps...

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Aventures entre collègues

 

Bonjour, voici ce qui m'est arrivé il y a quelques jours.

Depuis plusieurs mois je tente de me faire des fellations tout seul car cela m'excite. Je suis monté 18 mais ne suis pas très souple. Pour l'heure j'arrive tout juste à toucher mon gland avec ma langue, mais j'ai hate d'enfourner ma queue dans la bouche.

L'autre jour, alors que j'avais une sortie entre collègues, j'ai déposé Ludovic qui bosse avec moi et qui a 28 ans. Je l'ai remarqué dès son arrivée. Il est mignon, fin, charmeur et a une copine. Mais il lui arrive souvent de me parler et me jeter des coups d'oeil...J'ai 33 ans et suis bi. Après notre soirée entre collègues, je le ramène chez lui à Vanves car c'est sur mon chemin. Sa copine étant de garde ce jour là, il me propose de monter prendre un verre.

Chez lui, nous avons un peu parlé de la soirée puis de son couple et du mien. Il me demanda d'un coup si j'avais des fantasmes et quels genres, etc. Il me dit que lui ce serait de coucher avec un mec. Je fus géné mais cela m'excitait de l'imaginer me toucher, me sucer, et peut-être d'aller plus loin.

 

Il se mit à l'aise sur le canapé en enlevant son pull et en ouvrant juste deux boutons de son jean. Il me souria. Je lui pris la main et posa l'autre sur son sexe moulé par le jean. Déjà dur!.....Il appela sa copine pour être sur qu'elle soit encore de garde pour quelques heures en prétextant que plusieurs collègues montaient prendre un verre.

 

Alors qu'il me demanda de me lever, il prit très vite ma taille entre ses mains et colla sa bouche sur mon pantalon à l'endroit de mon pénis qui se réveilla très vite.

De carresses en carresses, tout en nous embrassant, nous enfilames l'un et l'autre nos mains dans nos slips et pratiquons un 69 ultra sensuel. Pendant une demi-heure, ma langue n'a cessé de lécher sa queue et ses fesses, puis de lui rouler des patins. De son côté il me machait le gland délicatement, me lécha.

 

Puis nous nous masturbâmes face à face en nous aspergeant le corps. Ravis de ce qui s'était passés, on s'est mis à rire!

 

Depuis, une grande complicité nous rapproche au bureau et dès que l'on peut se sentir seuls, on monte à l'étage supérieur relativement calme et pas encore aménagé totalement pour nous enfermer dans les toilettes et calmement nous pomper et branler. C'est une histoire de  fou. On arrive à faire cela deux fois dans la journée. Le soir, on a encore chacun nos copines!

Bref, pour l'instant vivons heureux vivons cachés...

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Chaud sur les dunes

 

Tout a commencé un été très chaud dans les deux sens du terme. J'avais déjà passé le début de mes vacances en compagnie de mon chéri. Malheureusement nous avions eu une violente dispute et j'avais décidé de partir en vacance dans un camping hétéro en espérant y trouver de beaux mecs bien foutus.

 

Après de longues heures de routes j'arrivais enfin dans ce camping. Je prenais donc mes affaires de tentes et je cherchais un bon lieu où dormir. Je trouvais un magnifique coin au fond du camp où la foule ne se pressait pas. Je commençais donc à planter mon premier piquer sans succès.

 

Je sentis alors une main me frôler l'épaule. Je me retourna d'un bond et vis la plus belle créature des temps. Il s'appelait Antonio, mesurait 1m90. Il avait des épaules larges et des biceps énormes laissant apparaître des veines. Il avait une bouche énorme pouvant aisément accueillir une grosse bite de diamètre d'une bouteille de bière comme la mienne. Il me demanda si je n'avais pas besoins d'aide. Je lui répondis que oui. Il m'aida donc et nous parlâmes un long moment. Il me demanda de lui enlever son tee-shirt qui lui collait à la peau, car il ne pouvait pas le faire seul il avait de la terre plein les mains. Je me posa derrière lui et me saisis de son tee-shirt moulant. Je le remontais lentement tous en frôlant ses pectoraux. Je bandais comme un taureau. Je pense qu'il le sentit car il se retourna et nos bouches se frôlaient. Il me dit qu'il avait fini et qu'il rentrait dans sa tante. Je lui dis de venir le soir, seul, pour qu'on puisse parler. J'avais bien sur dans la tête de me taper ce bel apollon et de lui enfiler au plus vite ma grosse queue au plus profond de sa gorge.

 

Le soir venu je l'attendais devant la tente. Je le voyais arrivait, toujours torse nu il se jeta sur moi et me dit d'aller sur la plage. Nous courûmes donc vers la plage qui était déserte. Nous nous assîmes sur le sable encore chaud. Je voyais ses abdos se contracter sensuellement à chaque mouvement qu'il faisait. Sans réfléchir je me jeta sur lui et lui enfonça ma langue dans sa gorge pour presque lui toucher la glotte. Il ne protestait pas, au contraire, il se tourna et déchira ma chemise violemment. Il louchait sur mes pecs. Il sortit sa grosse langue et me lécha le corps entier tout en me tripotant les fesses. Il descendit d'un étage et déboutonna mon jean. Mon calbute sauta car je bandais comme une bête en manque de sexe. « Oh ! Mec tu es chaud comme moi, alors je vais pouvoirs te faire des gâteries » Il baissa mon froc, ma bite rouge se dressa devant lui. Il la saisit entre ses mains fortes et dures et l'enfourna tout entière dans sa bouche chaude et pleine de salive! Il me pompait le gland comme personne auparavant. Il m'aspirait le gland et traînait sa langue sur mon pénis droit. Il s'enleva alors et se leva. Devant moi il commença à se dandiner et à se toucher, d'abord les pecs, puis les abdos, et enfin la queue dans son froc. Je me régalais. Je le regardais en me branlant de toutes mes forces. Alors il baissa son froc et sa bête énorme sorti, elle mesurait au moins 25 cm. Il se tourna vers la mer, les fesses ronde et dodu bien en évidence devant moi. Il se pencha, me montrant son trou rouge et poilu. Je bondis, pris ma bite et d'un trait lui enfila dans le cul. Il hurlait de plaisir. J'augmentais alors le rythme, le défonçant jusqu'aux entrailles. Nous criions tous les deux comme des bêtes en rutes. Je passa la main sur ses couilles et le branla violemment tout en lui défonçant le cul. Il tomba de fatigue dans le sable. Il se tourna vers moi me regardant droit dans les yeux et m'éjacule de son liquide chaud et goulu. Son sperme ruisselait le long de mes lèvres et à mon tour l'éclaboussa. J'ai bien cru qu'il allait s'étouffer en avalant mon liquide.

 

Puis un bruit retentit derrière la dune et trois mecs en sortirent et dirent « vous voulez de l'aide les mecs ? » Je sentis que ça allait être très chaud ce soir.

 

A suivre.

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Une histoire plutôt mouillée.

Un ami et moi nous arrivions sur notre lieu de villégiature, sous une pluie battante qui venait de commencer deux secondes auparavant, et qui finissa aussitôt. Nous descendons de voiture pour découvrir la villa que nous avions eu à prêter par un ami.Il me dit, et ben dis donc, ton copain est plutôt sympa, et en plus il s'est pas moqué de nous regarde la maison qu'il nous laisse et en plus gratuitement pour les vacances. Il est vrai que c'était plutôt une belle maison avec un carrelage marbré blanc, ce qui n'était pas pour déplaire. Nous posons nos bagages dans le hall d'entrée et commençons à visiter un peu les lieux. On arrive au jardin  et quelle surprise quand on y est arrivé non seulement on avait une piscine digne de compétition internationale, mais aussi une vue imprenable sur le centre ville. Remis de nos émotions, on est allez faire un tour en ville, avons pris un bon repas pour dire de nous remettre de notre voyage en avion. Revenu le soir, après un bon repas, nous nous sommes promener dans la petite crique qui était situé pas loin. Nous avons été surpris par un orage, et sommes rentré en catastrophe à la villa. Juste rentré, l'orage était passé. Nous sommes donc aller nous essuyé, et sommes aller nous coucher chacun de notre chambre respective. Le lendemain, à peine réveiller je le vois entrain de nager dans la piscine. Je m'assoies sur le rebord, lui arrive et me tire dans la piscine, je lui ça tu vas me le payer, et je lui « cours » après. Au bout de quelques minutes, je finis par le rattraper, nous chahutons quelque peu et puis nos lèvres se frôlent, ce qui nous donnes l'occasion d'échanger un doux baiser dans la piscine. Je sors de la piscine, et ce qu'il fait aussi, me soulève, pour me prendre dans ses bras et me porte jusqu'au lit. Là il commence à m'embrasser, tendrement, puis un peu plus fougueusement. Il me soulève les jambes, pour embrasser et titiller quelque peu mon anus, ce qui me procure un moment de plaisir intense. Pendant ce temps là, une de ses mains, va trifouiller dans le tiroir pour en ressortir un capote, je n'ai pas le temps de dire quelque chose, qu'il l'enfile et me demande s'il peut aller plus loin, je lui dis donne moi tout le plaisir du monde, alors je sens sa verge entrer doucement en moi, comme elle est plutôt épaisse, il a un peu de résistance à l'entrée, mais très vite sa verge est avalée. Il commence alors un doux va et vient tendre, tout en me caressant, alors il ressort au bout d'un moment et vient me jouir sur le torse. Remis de son effort, il prend ma verge dans sa main, et commence à me masturber, en douceur, puis de plus en plus rapidement pour me faire jouir sur son bas ventre. Essoufflé quelque peu, et légèrement en sueur, nous décidons d'aller prendre une douche, je lui dis vas y en 1er , et il me dit, on n'a qu'à prendre notre douche ensemble, je lui dis d'accord. Alors je le suis jusqu'à la salle de bain, nous entrons dans la baignoire, il commence à me frictionner le dos, t là, nous avons recommencer nos ébats, mais cette fois ci avec une variante, je suis devenu actif / passif, d'abord passif, je lui ai dit, que je souhaitais lui donner du plaisir. Il me dit, tu sais jusqu'à maintenant je n'ai été qu'actif avec les mecs. Je lui dis, c'est pas grave, il faut un début à tout. Alors, je mets une capote sur ma verge toute dressée et lui enfonce dans son anus encore vierge. Au début, il émet un petit son de douleur, mais change vite cela en gémissement de bonheur. Je vais et je viens en lui, et je fins par jouir. Nous nous embrassons, et finissons par nous rincés mutuellement. Nous nous essuyons et allons déjeuner. Pour finir notre journée nous sommes aller faire un peu de jet ski. Je ne suis pas près d'oublier ces vacances, qui si tout se passe bien  allons renouveler l'année prochaine, mais cette fois ci nous serons lui et moi en couple, car nous étions peut être parti en célibataire, mais au retour ce fut le contraire.

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Vacances naturistes

 

J'ai 20 ans, bien foutu et bien monté et j'adore passer mes vacances dans le camps naturiste de Montalivet en Gironde.

Là, je peux mater et me faire mater, et profiter de bons coups avec des partenaires divers.

Un été, je repère sur la plage un beau mec, plutôt jeune en compagnie de deux autres gars plus agés que lui. Ce qui m' attire vers lui, c'est son corps de rêve musclé et bronzé, son regard d'ange, mais surtout son sexe impressionnant qui pends entre ses cuisses.

A voir le regard des autres vacanciers hommes et femmes, je ne suis certainement pas le seul à fantasmer sur lui. Dommage pour ces dames, mais un coup d'oeil entre ses cuisses montre une belles paires de couilles rasées, signe de sa passion pour les garçons.

Une fin d'après midi, je rentre vers mon mobil lorsque je le croise de retour de course, les bras chargés de paquets. A sa hauteur, certains de ses sacs tombent par terre. Aussitôt, je lui propose de l'aider à ramener ses provisions, ce qu'il accepte. Mon coeur commence à battre rapidement, en voyant l'objet de mes désirs accepter ma proposition.

Une fois dans son mobil, nous posons les courses un peu partout dans la cuisine, il se penche en avant pour ranger des bouteilles lorsque je m'approche de lui. Ma main frole ses fesses. Je crains un refus, mais au contraire, il se penche un petit peu plus et écarte ses cuisses. Ma main se fait moins timide, et je lui caresse les fesses. Il grogne de plaisir, alors je le redresse et mes mains se posent sur tout son corps de rêve. Il se retourne et nous nous embrassons furieusement, nos langues et notre salive se mélant, nos mains s'activant sur nos corps. Je lui lèche le visage et le cou, ses mains se posent sur mes épaules et il me force à descendre le long de son ventre. Ma langue s'attarde sur ses pectoraux, ses abdos d'acier et finalement je me retouve a genou face à son sexe.

De près, c'est impressionnant de voir cette queue épaisse à moitié turgescente ma langue en suit tous les contours et j'enfonce doucement le gland énorme entre mes lèvres. Un fin filet humide coule de son gland, et lentement j'avale son membre jusqu'à son ventre. Il grogne de plaisir tandis que je sens sa queue grossir dans ma gorge. Il m'attrape par les cheveux et viole ma bouche par des va-et-vient de plus en plus puissant.

Après de longues minutes de fellation intense, je me relève, et je lui demande de m' enculer. Je m'allonge sur la table et sur le dos. Il me soulève les cuisses et je vois sa queue raide juste en face de la fente de mon cul. Il appuie doucement, et je sens mes muqueuses s'élargir sous la poussée. Après un cri de douleur qui ne dure pas, il s'enfonce en moi et je gémis de plaisir, lui demandant de me déchirer le cul, de m'enfoncer son chibbre au fonds du cul. Il s'active dedans, à ce moment je suis une vrai salope qui en veut encore plus.

Après de longues sodomies, il me reprends plusieurs fois de face et de dos, je m'empale sur lui dès qu'il s'allonge par terre. Je suis véritablement excité par ce pieu qui me comble et me rempli le cul. Lorsque je sens qu'il va bientôt jouir, je me jette sur son membre et je pompe à fonds pour ne pas perdre la moindre goutte de son foutre. Il éjacule dans un grognement de plaisir extrême, et j'avale son foutre épais et gluant jusqu'au bout.

Quel mec et quelle queue......Il m'a promis de revenir l'an prochain.

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Un plombier, ça débouche

 

La profession a toujours eu un attrait sexuel. Les pompiers, militaires, médecins (ah la blouse blanche), cowboys, bucherons, le maître nageur bien musclé et le plombier...

Le plombier doit passer pour réparer une fuite. Son nom est Kamel, je ne le connais pas mais, un habitué sur mon lieu de travail, Alain, m'en parle depuis deux semaines. Je vous livre sa description :

 

'25ans, français d'origine marocaine, 180, 75kg de muscle, peau mat, peut-être imberbe, yeux noirs, chausse du 44 je crois (taille US). Une odeur de mec, de sueurs et un paquet sous son bleu.'

 

Le genre de mec avec qui tu jouerais bien au bilboquet. Aie! Revenons à l'histoire car mes mains se détournent du clavier vers mon zob et je dois finir de vous raconter. Y'a un monde fou autour de moi et je dois rebooter une fois de plus le pc. Ca sonne, je bande, il ouvre la porte, je le vois, je gicle sur place.

 

« ahhhhhh Kamel, quel plaiiiisiiir de te voir ! » lui dis-je.

 

« Bonjour vous avez une fuite » dit-il timidement.

 

« oui on peut dire ça comme ça si tu veux, j’ai une fuite. »

 

Je le force un peu à entrer, car il n’est pas très à l’aise.

 

« Bon je vais pas traîner, j’ai du boulot qui m’attend, où c’est ? » me demande t-il très pressent.

 

« A vrai dire je ne sais pas trop, tu sais moi je suis juste là pour regarder que tout se passe bien. »

 

J’avoue que là je compris un peu la situation. Imagine, tu es pur hétéro, tu n’as jamais vu de mecs se sucer ni même s’enculer. Tu es l’hétéro qui ne sort pas, l’hétéro type, de base quoi. Et tu dois réparer une fuite dans un sauna gay en fin d’après-midi. Dur défi non ? Même Galfione a refusé cette épreuve à Fort Boyard! Pour Ricky Martin, j'en sais rien. Enfin je l’ai laissé découvrir, je n’ai pas bougé le petit doigt pour le rassuré, mon gros doigt dans mon calbut, lui a bougé. On ne pourra pas me le reprocher.

Les minutes passent, je dis bonjour aux nouveaux clients entrants. 10mn se passe et je vois Kamel toujours tétanisé et bloqué à l’entrée du sauna. Je ne suis pas un chien et décide de l’aider un peu, alors je l’accompagne dans sa quête personnelle : à la recherche de la fuite dans le sauna. Et y’en a des tuyaux! J’étais mort de rire, Kamel parmi les bites, les gémissements, les odeurs, le foutre. 10mn plus tôt son patron, Alain, je le rappelle, lui aurait sûrement dit :

 

« Bon tu vas réparer la fuite, ça te prendra quelques minutes. »

 

Il ne lui a pas dit combien de temps il resterait en tout, réparer la fuite ça c’est rapide mais sortir d’un sauna gay, ça l’est moins. Le bo Kamel a en tout cas, ce jour là halluciné. Il a trouvé la fuite, il a réparé tout ça pendant que les mecs s'envoyaient en l'air, quel spectacle mes amis. C'est ce jour là, que Kamel devint un personnage récurrent de ma vie. Je ne remercierais jamais autant Alain. C’est lui qui a mis sur pied l’escapade de Kamel.....

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Soumis et offert

 

Dimanche… 17 heures… Il ne me reste que quelques heures à passer avec Marc, ensuite je ne le verrai plus de la semaine…

Nous sommes au lit, tendrement enlacés, nous faisons l’amour. Je suis sur le dos et mes jambes gainées de bas sont sur les épaules de Marc. Il m’encule tendrement en m’embrassant, ses mains me caressent les seins. Ma queue se gonfle sous ses coups de reins... Il me parle doucement, me dit qu’il aime faire l’amour avec moi, qu’il n’y a qu’avec moi qu’il prend son pied. Ses mots me rendent dingue… Quand il sent que je suis bien chaud, il me glisse à l’oreille :

 

« Je veux que tu reste avec moi ce soir. J’ai organisé une petite soirée avec mes potes demain. Ils ont besoin d’une pute et je veux que tu sois là !… Personne ne pourra les satisfaire mieux que toi… Restes encore une journée, si tu tiens à moi. »

 

Je sens son souffle dans mon cou, sa queue aller et venir dans mon ventre et je suis tellement excité que j’accepte sans hésiter.

 

Le lendemain après midi, Marc m’appelle dans la chambre. Il est assis sur le lit et me demande de m’habiller dans sa tenue préférée. Je me déshabille et enfile une paire de bas noirs et un porte-jarretelles. Marc me regarde et lorsque je passe ma petite culotte fendue, je vois sa braguette faire une jolie bosse. Il se lève, m’embrasse tendrement et me dit :

 

« Ca me fait toujours autant d’effet de te voir dans cette tenue, il faut que tu fasses quelque chose pour me soulager ».

 

En disant ces mots, il appuie ses mains sur mes épaules et me force à m’agenouiller devant lui. Je déboutonne son pantalon, sors sa queue gonflée de désir et, après l’avoir léchée de haut en bas, la fait glisser entre mes lèvres humides. Lorsque je sens ses couilles contre mon menton, je lui caresse l’anus et commence un long va et vient. Au bout de quelques minutes, Marc me saisit la tête et se met à onduler du bassin pour me « baiser » la bouche.

Lorsqu’il fait cela, je sais qu’il est sur le point de craquer. Ma langue s’active davantage et j’introduis mon doigt dans son petit cul serré. Le résultat ne se fait pas attendre : Je sens bientôt sa queue trembler et un puissant jet crémeux me fouette le palais. J’avale avec délice le sperme de mon mec, lui léchant le gland pour ne rien perdre de son sirop…

 

On sonne à la porte, Marc se retire de ma bouche. Il sort de sa poche un foulard qu’il me noue autour des yeux et me demande de rester à genoux pendant qu’il va ouvrir. J’entends bientôt plusieurs voix d’hommes dans le salon… Marc revient dans la chambre, il me guide à genoux jusqu’au salon. Les voix se taisent et je n’entends plus que des murmures. Je devine que plusieurs personnes sont assises dans le canapé et les fauteuils. Marc m’arrête devant la table du salon, il m’écarte les jambes et les attache aux pieds de la table. Il fait de même avec mes poignets… Je suis à présent ficelé à quatre pattes sur la table, soumis et offert au premier venu…

J’entends des braguettes s’ouvrir, des pantalons se baisser. Une main attrape mes cheveux et me redresse brutalement la tête. Je sens l’odeur d’une bite et un gland vient heurter ma bouche. J’écarte les lèvres pour laisser glisser contre ma langue cette queue gonflée. Quelqu’un fait glisser ma petite culotte et m’écarte les fesses, je l’entends cracher dans ses doigts pour m’enduire l’anus de salive. Il appuie son sexe contre ma rondelle et m’encule d’un seul coup de reins.

Sa queue me paraît énorme, la douleur me déchire le ventre. Mais je ne peux pas crier. Personne ne parle.

Seuls mes gémissements de douleur et de plaisir se mêlent au souffle de mes amants et au bruit de leur sexe dans mes orifices humides… Je me fais limer pendant plusieurs minutes avant qu’un jus chaud et visqueux m’inonde le cul puis la bouche. Les couilles vidées, mes baiseurs se retirent. Marc s’approche de moi et me murmure des mots doux à l’oreille, puis il me demande d’ouvrir la bouche, de tendre mon cul en arrière ou d’écarter les fesses. Et d’autres queues raides et brûlantes s’introduisent en moi. Les bites s’enchaînent les une après les autres.

Ma mâchoire me fait mal et mon anus ouvert absorbe maintenant les sexes dressés sans problème. Je ne suis plus qu’une machine à faire jouir, une poupée qu’on enfile pour se satisfaire et se soulager.

 

Bientôt le sperme me coule entre les fesses, le long des cuisses et dans le cou. Je ne peux rien faire d’autre que de subir les assauts répétés de ces hommes et de m’abandonner au plaisir qu’ils me procurent.

L’un après l’autre, pendant près de deux heures, huit mâles me baisent sans retenue. Certains d’entre eux me prendront même deux fois. Ils ont tous payés pour cette soirée et en veulent pour leur argent. Les derniers m’éjaculent sur le visage, les cheveux et les fesses.

 

Marc raccompagne ses invités à la porte et revient dans le salon... Il se penche prés de moi et me dit que j’ai été parfait et que ses amis ont vraiment apprécié.

Il s’allonge sur moi et je sens sa queue tendue glisser entre mes fesses. M’a-t’-il déjà baisé pendant la soirée? Je l’ignore mais il a l’air très en forme. Son gland ne cherche pas longtemps l’entrée de mes reins et son sexe s’enfonce en moi sans difficulté.

 

Marc sait maintenant qu’il a à sa disposition une petite pute docile et soumise, prête à tout pour le satisfaire… ou satisfaire ses moindres désirs…

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